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Blog-Notes Robert Grossmann

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vendredi, 28 septembre 2012

Du côté de chez Anne avec Vincent Froehlicher

J’ai redécouvert un lieu. Romantisme envoutant, délicieusement somptueux, magique.

Vincent Froehlicher m’y a entrainé pour une rencontre déjeuner.

Je connaissais bien cette belle et grande demeure alsacienne avec ses colombages et son superbe parc. J’y ai souvent fait de belles rencontres politiques et littéraires.

Mais une métamorphose s’est produite sous le coup de baguette d’une fée.

L’ancienne Ferme s’est muée en une superbe Maison d’Hôtes avec sa salle de restaurant que l’on n’a pas envie de quitter à la fois pour les plaisirs de la table et pour l’ambiance chaleureuse. Avec ses chambres d’une qualité rare, décorées avec un gout sûr, artistiquement luxueux où la contemporanéité fait chanter la mémoire du lieu.

« Du côté de chez Anne » n’a pas son égal dans la capitale de l’Europe, situé à deux pas du Conseil et du Parlement. Pour qui ne l’a pas découvert il manque quelque chose de l’ordre de la culture générale.

On y est un peu ensorcelé et du coté de chez Anne on est un peu du côté de chez Swann.

http://www.du-cote-de-chez-anne.com/

 

C’est là qu’autour d’une belle table j’ai pu échanger avec Vincent Froehlicher.

A chaque rencontre je découvre de nouvelles qualités chez cet « honnête homme » au sens XVIIème siècle de ce mot. Sa culture me séduit autant que sa parfaite connaissance du tissu économique. Échanges agréables et fins, humour de lettrés…

Nous n’avons dit que du bien de tous les absents !

Mais même notre différent sur la marque Alsace (le désormais célèbre cœur brisé de l’Alsace bretzélisée) qui lui a permis d’en faire une belle défense et illustration, même nos échanges n’ont pas dissipé le halo d’inquiétude qui accompagne Vincent. Le chômage, les chercheurs d’emplois, le sort des entreprises sont sa préoccupation permanente.

Cet homme est sur tous les fronts et mène tous les combats pour le développement économique. Je ne connais personne qui ait une meilleure connaissance des entreprises à conforter, de celles à faire venir, de celles en difficulté.

La situation est inquiétante mais la volonté d’hommes comme Vincent est rassurante.

mercredi, 18 juin 2008

Le sens du 18 juin

Oui je renoue avec mon blog! Comment mieux le faire que de présenter ici, en ce 18 juin 2008, la tribune de Jamila Azeroual, responsable "jeunesse et vie étudiante" du club des démocrates pour le progrès? De larges extraits de ce texte ont été publiés dans les DNA de ce jour. A méditer!

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dimanche, 3 février 2008

Pierre Palmade me téléphone...

Il m'explique son sketch lors du spectacle des enfoirés. On est d'accord, Strasbourg est bien en France

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vendredi, 22 juin 2007

ça décoiffe !


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vendredi, 19 janvier 2007

Allez au CEAAC, rue de l'abreuvoir.

Trois jeunes artistes exposent. Lauréats du Centre Européen d'Actions Artistiques Contemporaines ils valent le coup d'être vus. J'aime les peintures sous verre étonnantes de Rossano, les photos de paysages, fascinantes de Filliquet et les sculptures insolites de Séverine Hubard. Dans des expressions très différentes ces trois jeunes créateurs interpellent et interrogent nos regards.

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mercredi, 24 mai 2006

Les lèvres de la Mater Dolorosa du Gréco

Elles sont réelles et vivantes et en même temps irréellement fascinantes. Je rêvais de ces lèvres qui symbolisaient l’art et la création pour le lycéen que j’étais… »

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dimanche, 7 mai 2006

Mort d'un commis voyageur. Magique Maillon

Le théâtre conduit à l’essentiel chaque fois qu’il s’empare de la qualité et qu’il est exigeant avec lui même.

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lundi, 17 avril 2006

André Malraux, discours à l'occasion du transfert des cendres de Jean Moulin au Panthéon

podcast

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mercredi, 8 mars 2006

Il bosco guarda e ascolta : la forêt regarde et écoute.


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mercredi, 22 février 2006

communautarisme, question linguistique...à propos de la Corse en juillet 2000

En juillet 2000 le gouvernement de l’époque et son premier ministre Lionel Jospin négocièrent avec une délégation de l’assemblée territoriale de Corse. Ce furent « les accords de Matignon » après de sanglants événements. Angelo Rinaldi, écrivain, critique littéraire et membre de l’académie française, publia dans le Nouvel Observateur N°1866 du 10 août 2000 une tribune remarquable où il évoque notamment la question de la langue. J'aime ce texte, au style brillant, que je relis de temps en temps...

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