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Blog-Notes Robert Grossmann

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politique

la France malade de son cancer juridique Elles prolifèrent, elles galopent, elles se superposent, elles se complètent ou se contrarient, s’annulent ou se détruisent mais elles ne s’arrêtent pas, a prolifération des lois françaises. « Voici mon bilan, exposait ce sénateur à ses grands électeurs : j’ai contribué à l’élaboration de 366 textes de lois. Moi à 727 » disait son colistier. Ils en étaient légitimement fiers puisqu’ils se situent dans le cadre de cet incurable sport national vicié par le dopage de la compétition. Qui en fera plus et qui fera mieux ? C’est ce qui débouche sur l’inextricable maquis juridique devenu jungle, qui étouffe notre pays et l’empêche de respirer simplement, sainement ! La législation française est ainsi archaïsée, sclérosée, contre productive or c’est une matière dont l’homme est le centre. Prenons l’exemple de la gestion d’une collectivité. Imaginons que les dirigeants aient envie de faire avancer les choses et de faire preuve de dynamisme. Il y a tant de textes à respecter qui souvent se chevauchent et se côtoient que, lorsqu’il s’agit de réaliser un projet, on peut se demander si l’action est possible, si l’objectif final, indirect certes mais bien réel, ne consiste pas à bloquer et à obliger au sur place, voire à faire échouer toute réalisation par épuisement. La transformation de la place de la gare de Strasbourg pour accueillir le TGV doit pas faire l’objet d’au moins trois enquêtes publiques. Cela suppose des mois de délais qui deviennent des années. Des montagnes de paperasses, des heures, jours mois de salaires de fonctionnaires pour les seuls buts du respect de tous les textes. Des frais d’avocats et de conseils exorbitants. Cela représente un faramineux coût en impôts pour nos concitoyens. Innombrables sont les contraintes de tous ordres. Puis quand les dossiers sont ainsi bouclés, les opposants politiques de tous poils d’ailleurs, les obsédés de la plaidoirie et des tribunaux ont devant eux des boulevards de jubilations, terrains d’exercice de la pose d’obstacles, ils peuvent s’en donner à cœur joie. Les lois leur offrent toutes les possibilités de recours et donc de contrariété des projets. Ce n’est plus l’intérêt général qu’il est proposé de défendre au tribunal administratif ; c’est de la revanche, c’est la prolongation du combat politique, c’est la troisième manche du match !…La majorité d’une assemblée propose et vote démocratiquement. L’opposition expose ses arguments et se bat pour ses thèses. On passe au vote la majorité l’emporte et l’opposition s’incline. Ce principe est aujourd’hui dépassé puisque, après être mise en minorité, plutôt que de s’incliner l’opposition rejoue la partie devant les tribunaux administratifs. Parfois elle gagne et bafoue de ce fait le principe élémentaire sur lequel est fondée la démocratie : l’expression du suffrage, le vote. Mille exemples peuvent illustrer l’archaïsme de notre jungle législative. C’est donc un toilettage général de tous les codes qu’il faut entreprendre d’urgence. La force du code civil originel résidait dans la volonté de Napoléon d’avoir un instrument juridique clair, efficace et opérationnel. Nos codes multiples ne sont plus clairs, simples, efficaces. Il faut réformer l’appareil législatif de la France, tout comme il faut réformer l’état lui même. Simplifier, réformer, élaguer, clarifier, harmoniser notre appareil législatif… Si j’étais parlementaire j’ accorderais une priorité absolue à ce chantier. C’est quasiment du salut public. Dans les domaines pénal et civil il en est de même. J’ai entendu à la télé ce juge expérimenté rappeler que les résolutions fortes évoquées en ce moment à propos de la sale affaire du procès d’Outreau l’avaient déjà été de la même manière il y a une vingtaine d’années lors de l’affaire de la Vologne et du petit Grégory. Rien n’a bougé. Fabriquant incontinent de lois de tous ordres notre pays ne semble plus capable de se réformer sainement. Mais c’est de courage qu’il s’agit. De courage qui fait défaut à le France. La France d’aujourd’hui souffre d’un déficit de courage ! Si je suis favorable à la « rupture » en voilà une raison et je ne vois aujourd’hui, objectivement que Nicolas Sarkozy pour disposer de l’énergie, de la volonté et du courage indispensables pour l’entreprendre et la réaliser.

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mardi, 27 avril 2010

L'Eurodistrict...j'ai osé affronter la pensée unique

L'eurodistrict Strasbourg-Ortenau doit être équilibré et la balance ne doit pas pencher sans cesse en faveur de l'Allemagne. A-t-on encore le droit de se dire français au sein de l'Eurodistrict ou est-on immédiatement vilipendé et stipendié ? Moi je défends les intérêts des citoyens contribuables français, tant pis pour les fanatiques de la pensée unique au pouvoir à Strasbourg.

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mardi, 6 avril 2010

de Gaulle et le verbe, un papier de 1985 du Monde.

De Gaulle ou la République du verbe

21 avril 1961 - Marketing, communication, relations publiques, promotions, spots, clips, vidéo, médias... Autant de mots totalement inconnus du temps de la république gaullienne. Et pourtant, de Gaulle n'a-t-il pas été le premier homme de communication de France, avec le coup de génie de l'Appel du 18 juin lancé au micro de la BBC, que personne n'a entendu mais dont tout le monde a entendu parler ? 
Jamais au cours de sa carrière de Gaulle n'a utilisé les services du moindre cabinet de communication ou de relations publiques. Ses collaborateurs chargés de faire connaître sa pensée, d'organiser ses déplacements, ignoraient qu'ils faisaient du "marketing&quotavant la lettre. Un Olivier Guichard pendant la "traversée du désert", un Jean Chauveau au début du septennat, occupaient avec une efficace discrétion le rôle d'attaché de presse. En fait, ce sont les journalistes eux-mêmes qui ont été les plus efficaces agents de communication de de Gaulle. Mais c'est toujours lui-même qui a été à la fois le héros de l'histoire qu'ils racontaient, et le grand maître des cérémonies qu'ils décrivaient. Mais quel grand maître et quel héros ! 
Le cérémonial, le rituel-ces mots venaient irrésistiblement sous la plume,-a toujours été contrôlé de près par de Gaulle, après qu'il eut été établi par ses collaborateurs directs de l'Elysée et par ceux du service des voyages officiels, du ministère de l'intérieur ou du Quai d'Orsay. Car jamais de telles tâches n'ont été affermées à une quelconque entreprise qui ne fût pas d'Etat. 
En matière de mœurs politiques médiatiques, de Gaulle a été un innovateur à bien des égards. 
Le premier, il a célébré ces grand-messes dont il était à la fois l'officiant et l'idole. Devant les foules immenses du RPF à Vincennes ou à Strasbourg en 1947, dans toutes les grandes villes de France et d'Afrique pour la campagne référendaire de 1958, dans les départements de métropole et d'outre-mer, tous visités, de Gaulle a célébré des offices à la gloire de la grandeur de la France dont il était l'intercesseur, autant que l'imprécateur. 
Il a aussi innové en transposant en France pour la première fois la technique américaine de la conférence de presse, dont il sut faire un art, toujours imité jamais égalé depuis. 
Véritables événements politiques nationaux et internationaux, au rythme moyen de deux par an, les conférences de presse de de Gaulle accueillaient à l'Elysée quelque sept cents à huit cents journalistes. 
Seul sur un petit podium, assis à un bureau nu, ayant à sa droite en contrebas tous les membres du gouvernement, et à sa gauche ceux du cabinet élyséen, le général, sans notes, répondait souvent pendant deux heures d'horloge. 
Ses réponses correspondant aux questions de l'heure-parfois suggérées à quelques journalistes sympathisants-avaient été longuement méditées, et apprises par cœur. Et il savait en cas de besoin parer aux omissions, comme ce jour où il demanda : "Quelqu'un, je crois, m'a posé une question sur Ben Bella", alors que personne ne l'avait fait ! Dans les deux heures qui suivaient, le service de presse de l'Elysée diffusait le texte complet de la conférence, que le journaliste du Monde accrédité à l'Elysée s'empressait d'apporter à Hubert Beuve-Méry pour que celui-ci écrive dans la nuit le rituel Sirius du lendemain. 
Dix-neuf conférences de presse ont ainsi été données par de Gaulle de juin 1958 à son départ, en 1969. Durant la même période, il a prononcé soixante-deux allocutions radioté lévisées, dont chacune constituait un appel à la nation. Là aussi, il a innové, bien que seul avant lui Pierre Mendès France ait pratiqué la radio-mais sur le ton de la conversation-avec ses causeries hebdomadaires "au coin du feu". 
Dans le décor reconstitué du bureau présidentiel, le général regardait, avant la lettre, "la France au fond des yeux". 
Le souci de la mise en scène n'était pas toujours absent. Ainsi, pour s'adresser aux insurgés de la semaine des barricades d'Alger, en janvier 1960, de Gaulle apparaît-il vêtu de son uniforme de général. 
S'il a été la première "star&quotpolitique de la télévision française, de Gaulle a aussi été un homme de radio. Sa voix aux tonalités si particulières autant que sa langue parlée ont été utilisées par lui comme des armes. D'ailleurs, durant toute la guerre d'Algérie, c'est par la radio qu'il s'est adressé aux populations de ce pays. Et c'est par un message radio reçu sur les transistors des soldats du contingent qu'il a fait avorter le putsch d'avril 1961. 
Après son premier retrait du pouvoir en 1946, le gouvernement avait d'ailleurs senti l'importance de la voix de de Gaulle puisqu'il lui avait interdit les ondes nationales. 
Le soin apporté par de Gaulle à ses discours est confirmé par de nombreux témoins. Le texte écrit à la main, puis tapé à la machine et raturé, était appris par cœur, répété devant la glace, récité à haute voix à plusieurs reprises. 
L'attention-à défaut de l'adhésion idéologique-portée à de Gaulle par l'opinion était certes due à de multiples raisonselle était parfois même sans raison. Maintes fois, sur les parcours empruntés par lui, nous avons interrogé des spectateurs sur leurs motivations, qui nous répondaient : "On a applaudi de Gaulle, parce que c'est de Gaulle !&quotA cette occasion, il a aussi été le premier à pratiquer le "bain de foule", à la grande frayeur du service d'ordre. Certes, le charisme de l'homme du 18 juin, du libérateur de la patrie, du fondateur de la Ve République, attirait les foules. La parade du cortège officiel éblouissait les enfants et les badauds. La silhouette du personnage historique visitant "cette province si chère à mon cœur&quotpouvait émouvoir. Mais, surtout, la retransmission de ses propos, leur exégèse sans fin par les journalistes, les réactions des hommes politiques, contribuaient à propager sa pensée et ses formules. 
Car de Gaulle possédait au plus haut point le sens de la formule, connaissait la puissance du mot. Depuis sa trouvaille de 1940, "la France a perdu une bataille, mais elle n'a pas perdu la guerre", le florilège est innombrable des phrases lourdes de sens politique, des boutades, des archaïsmes réhabilités, des images qui ont émaill&eacuteses propos. "La paix des braves&quotofferte aux rebelles algériens, "un président inaugurant les chrysanthèmes", "le machin qu'on appelle l'ONU", "la hargne, la rogne et la grogne", et même "l'intendance suit&quotet "l'Europe des patries", petites phrases qu'il a authentifiées en démentant les avoir prononcées, sont, entre autres, devenues des expressions courantes. 
De même, les "foucades", le "tracassin", le "volapuk", la "dyarchie", les "comités Gustave, Théodule, Hippolyte", "l'Europe de l'Atlantique à l'Oural&quotou "la France de Dunkerque à Tamanrasset", pas plus que le "Hélas! hélas! hélas!&quotne lui ont été soufflés par un conseiller en communication ou un expert en éloquence.

ANDRE PASSERON
Le Monde du 19-20 mai 1985

 

dimanche, 21 mars 2010

Philippe Richert, victoire historique

ma réaction à la suite du deuxième tour des régionales

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vendredi, 12 mars 2010

Il y a tant de gauchistes extrêmes qui sont aujourd'hui leaders d'Europe Ecologie...

Ont ils tellement changé?

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lundi, 22 février 2010

Jacques Cordonnier, Alsace d'abord me fait parvenir sa réponse et son analyse sur la culture en Alsace. Je publie!

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samedi, 20 février 2010

Est ce que pour beaucoup de candidats...

mais aussi d'élus...

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mercredi, 10 février 2010

La fin des militants et la quête de la société civile Ou la noblesse abolie des partis politiques


 

Le centre coule mais on s’y précipite

Elles sont presque toutes finalisées ces listes, à gauche comme à droite et surtout au centre car on a l’impression qu’il n’y rien qui ne vaille le centre, le nec plus ultra. Or il n’y a rien de plus protéiforme en même temps que de plus évanescent que le centre. Jadis Georges Pompidou nous avait dit : « Le centre je le cherche avec ma lanterne comme Monsieur de Soubise cherchait son armée… »

La gauche pêche au centre ; en face (on n’ose plus dire à droite) on est au centre ; aux centres on est au centre et puis il y a les extrêmes, au bord des centres.

Le centre est donc obnubilant et on a l’impression que pour chaque tête de liste : « hors du centre point de salut ».Or le centre coule, corps et âmes et pourtant on cherche en vain des candidats se réclamant ouvertement de la droite républicaine.

La société civile baume miraculeux

Mais, par delà les centres, il y a cet autre Graal : les héros de la société civile !

Voila des années qu’à l’approche d’élections les têtes de listes recherchent des spécimens de la société civile.

En clair des hommes et des femmes exerçant un métier et de préférence un métier noble : médecin, avocat, chef d’entreprises … Cela permettrait, a contrario, de penser qu’aucun « politique » n’exercerait et n’aurait jamais exercé de métier, ce qui est une manière indirecte de décrédibiliser toute la classe politique….

La quête de « société civile » est le summum du snob pour un politicien car il recherche ce qu’il semble ne pas être et présentera ainsi aux électeurs le miroir de ce qu’il rêvait d’être, une liste telle une boite de dragées entourée d’une faveur rose ou bleue.

Au sein des partis un ramassis de toquards et de grouillots à éviter

Bref il croit  toucher une sorte d’aristocratie représentants la « vraie » société. Et cet anoblissement s’effectue par rapport à qui ?

Eh bien à ces toquards, cadres et militants des partis politiques, race bassement cataloguée et toujours sujette au soupçon de quelque maladies honteuse. À la limite, des infréquentables, en tous cas des imprésentables. C’est du mois ce que pensent les têtes chercheuses…de listes.

Grave, très grave leurre !

Revenons au fondamentaux.

La constitution de la France recèle des maximes à valeur immuable. A coté des grandes règles fondamentales il convient de méditer et de vénérer l’article 4 du titre premier : De la souveraineté.

Qui le connaît ? Qui s’en souvient ? Qui s’y réfère ?

« Les partis et groupements politiques concourent à l’expression du suffrage. Ils se forment et exercent leur activité librement. Ils doivent respecter les principes de la souveraineté nationale et de la démocratie.

Ils contribuent à la mise en œuvre du principe énoncé au second alinéa de l’article 1er dans les conditions déterminées par la loi.

al 2 art 1 La loi favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu’aux responsabilités professionnelles et sociales.

En clair les partis politiques sont, par excellence, les lieux qui concourent à l’expression du suffrage. Leur mission est de permettre aux citoyens qui y adhèrent d’accéder aux fonctions électives. Ils ont donc leur authentique noblesse démocratique et républicaine.

C’est en forgeant qu’on devient…

Je me souviens d’un homme politique de tout premier plan qui au cours d’un débat répondait à un de ses interlocuteurs : « Pour être maçon il faut apprendre le métier de maçon, pour être boucher il faut de l’apprentissage. Pour être médecin, avocat il faut faire des études de médecine, de droit…Eh bien pour faire de la politique et exercer un mandat il faut apprendre le métier. Pourquoi voulez vous que ce soit la seule « fonction » que l’on pourrait pratiquer sans aucune formation, par un don du saint esprit ? Il faut un apprentissage que les partis politiques dispensent, c’est leur mission. »

Les partis écoles de formation

Il est parfaitement exact que les partis politiques sont des écoles de formation à l’exercice de missions et de mandats publics. Ah ce n’est pas un apprentissage académique, il est souvent rude et parfois chaotique, mais c’est là, au sein du parti politique que l’on « frotte et lime sa cervelle contre celle d’autrui » comme le prescrivait Montaigne. École de vie politique !

Les fondamentaux oubliés

Tout cela étant parfaitement oublié, les « leaders » mettent leur coquetterie à détecter des perles rares de la société civile, dépourvues de toute idée de ce qu’est la vie politique au quotidien. Il incombera à ces  « perles » de rapporter des voix tout en s’accommodant de l’ingrat devoir de siéger au milieu des grouillots des partis politiques, qui eux seront toujours aux ordres et ne gêneront personne.

 

Les dynastes, les grouillots et les désillusions

Une des révélations de cette campagne électorale a été la confirmation de la puissance des dynasties ! Être « fille-de », « femme-de », est un sésame.

Quant à l’avocat, au médecin, au chef d’entreprise, à la fille ou à l’épouse, une fois en situation de responsabilité, les voilà tout étonnés de devoir se plier à une sorte de discipline de groupe, eux si habitués à être chef et maître après dieu de leur destin professionnel ou familial.

Quant à siéger dans des conseils de lycées ou d’associations culturelles ou sociale ? Est-ce vraiment utile quand on a des choses (professionnelles ou familiales) sérieuses à faire ?

Un cabinet d’avocat, de médecin, un PDG, sont à mille lieues du terrain qu’arpentent les distributeurs de tracts et les colleurs d’affiches. Mais ils sont autant éloignés des cadres des partis qui font vivre des sections et des circonscriptions, qui organisent des réunions des formations et qui assurent l’ingrate intendance quotidienne.

Dans leur immense majorité ceux la demeurent relégués dans la pénombre des soutes pendant que le PDG ou l’avocat, ou la « fille-de » trône en bonne place sur la liste…

Et comment ceux ci peuvent-ils avoir la disponibilité pour assister à des séances de commissions, des fêtes paroissiales ou des conseils d’école ou de lycée ? Tâches ingrates et peu valorisantes auxquelles les militants eux sont plus oui moins formés.

On ferait l’addition sans le patron ?

Sauf que, ce que semblent ignorer les chefs de files et têtes de liste…sauf que l’électeur n’est plus un gogo, il est même tellement libre qu’il est capable de faire n’importe quoi. Par exemple il n’est pas impressionné par son dentiste, ni par son avocat, encore moins par son patron ! Bref c’est lui, le patron !

Qu’importe! La mode fascinante de la société civile opposée aux militants des partis, est bien la règle. Sauf que cette mode n’opère pas toujours et elle est trop souvent semblable aux mirages des grands déserts.

Mais comme c’est la mode et qu’elle est tenace, est-il encore utile d’aller s’encarter dans un parti politique qui « favorise l’accès aux mandats électoraux » ? Et si cela sonnait comme une extinction des partis politiques et dans la foulée comme une menace pour la démocratie constitutionnelle ?

Il y faut un sursaut, les partis politiques doivent se mettre à revivre en honorant toute la noblesse des fonctions que leur attribue notre constitution.

Sursaut qui doit réveiller les cadres du parti pour une redynamisation nécessaire et une meilleure et plus efficiente prise en compte de leur vrai rôle.

Prise de conscience des « têtes » de listes de ce que les voies qu’ils empruntent ne sont pas du tout les garanties du succès.

 

lundi, 8 février 2010

Vers quoi tendent mes convictions aujourd'hui? Vers une meilleure prise en compte des questions écologiques

Et je m'en explique dans mon livre "à mots découverts" dont voici la page de conclusion

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mercredi, 3 février 2010

lettre ouverte de l'écrivain Gérard Cardonne au maire de Strasbourg à propos de son adjoint Cahn qui traite de fétichistes ceux qui aiment leur drapeau et l'hymne national

titre: le contempteur

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Keller-Mangin/Merger-Taral

un nouveau groupe est né au conseil municipal de Strasbourg mais il reste dans l'ancien groupe!

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