mon journal, mes humeurs
Mercredi 8/02/06 : miroir Je déjeune à Paris, avec un partenaire culturel de la ville. Nous parlons dun certain passé commun. Nous nous étions connus il y a longtemps. Il évoque son parcours, nous discutons de projets à venir. Il avait la galanterie, dès mon arrivée au restaurant, de me proposer la banquette, face à la salle. Place dhonneur amicale. Jétais sensible à son geste. Je létais toujours lorsque je finis par ressentir une sensation curieuse qui inscrivit peu à peu dans mon esprit une explication moins poétique à sa politesse. Assis en face de moi il parlait, racontait, souriait et curieusement ne semblait pas sadresser à moi. Il ne me regardait guère. Son regard visait quelques centimètres à coté de mon visage, comme si javais un voisin et moi jécoutais et je parlais à quelquun qui semblait écouter et parler à lautre. Je constatais soudain que dans mon dos les murs du restaurant étaient dimmenses miroirs.dimanche, 9 avril 2006
Qu'ils cessent de rêver à une sixième République et de nous distraire avec ça...le mal est ailleurs
Par Robert Grossmann le dimanche, 9 avril 2006, 17:30
lundi, 3 avril 2006
requiem pour le 12
Par Robert Grossmann le lundi, 3 avril 2006, 07:48
jeudi, 30 mars 2006
Villepin sur le vif
Par Robert Grossmann le jeudi, 30 mars 2006, 09:37
vendredi, 24 mars 2006
Waterloo pour la langue française ou prémices d'Austerlitz?
Par Robert Grossmann le vendredi, 24 mars 2006, 10:26
jeudi, 16 mars 2006
Codicille en vue de l'arrivée des extraterrestres.
Par Robert Grossmann le jeudi, 16 mars 2006, 14:44
Je lis, dans le Monde d'aujourd'hui, que le philosophe Michel Onfray, grand athée devant l'Eternel (et pas seulement devant Lui) vient d'être nommé "prêtre honoraire" des raëliens par le gourou de la secte athée, Claude Vorilhon (petit bouc, queue de cheval, casaque blanche). Nos félicitations !
Le philosophe s'en défend ! Evidemment. Mais à quoi bon s'escrime-t-il ? Il a été nommé "raëlien d'honneur" : le mal ou le bien est fait. Il ne pourra plus revenir là-dessus. L'an passé, Michel Houellebecq avait été "honoré" du même titre. Preuve qu'une secte accapare à elle tous ceux qu'elle veut, bon gré mal gré. On notera que jamais le Vatican n'a choisi de coopter Michel Onfray et celui-ci devra se souvenir de la différence fondamentale qu'il existe entre une secte et une religion, c'est-à-dire entre l'enfermement idéologique et la foi.
lundi, 20 février 2006
miroir, miroir...
Par Robert Grossmann le lundi, 20 février 2006, 22:04
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