{{tpl:bandeauDefilantHead}}

Blog-Notes Robert Grossmann

Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

vendredi, 25 juillet 2014

"Touche pas à l'Alsace" slogan réac et contre productif!

J'ai posté ce texte sur Facebook: " J'aime pas le slogan "touche pas à l'Alsace " immobiliste et hyper conservateur. C'est parce que personne n'a touché a l'Alsace, 
n'a jamais bougé en Alsace qu'elle à cette image d'endormie. " respectez l'Alsace" serait plus adapté et ne rappellerait pas Harlem Désir"

En développant ici on pourrait ajouter que ce slogan emporte des relents de repli identitaire donc de communautarisme. Ses (son) auteurs, une faction particulière de l'UMP 67, s'en défendront, eux qui ont déclenché une campagne de pins et autres matériaux de propagande, eux qui croient leur heure venue. Mais les mots sont têtus et pris au pied de la lettre ils excluent de l'Alsace tout ce qui ne serait pas estamilllé "alsacien" par eux même.

Curieusement ce slogan introduit aussi de manière insidieuse une sorte de règle de la "préférence régionale" qui n'est pas sans rappeler quelque chose...Filiation inconsciente?

En même temps il sugère que l'Alsace est une poltrone, une pleutre, une grande peureuse qui craint toute confrontation avec ce qui lui serait extérieur. 

Que serait une France où fleuriraient partout ces slogans défensifs et en même temps menaçants, donc agressifs pour tout ce qui est étranger à la Région. "Touche pas à la Provence" "Touche pas au Poitou" Touche pas à l'Ile de France" "Touche pas à la Normandie" etc etc. 

Ce serait le refermement généralisé et pour illustrer de manière simpliste dans un domaine que je connais bien : une compagnie théatrale "alsacienne" serait exclue de la Bretagne pour cause de 'Touche pas..." Une compagnie provençale n'aurait pas de place en Alsace pour cause de préférence régionale Alsacienne ? Idem pour un peintre, un sculpteur, sans parler des entreprises et des agents du monde économique.

"Touche pas à l'Alsace" exporte une image naphtalinée de notre belle région, elle est contre productive et fait régresser l'Alsace dans l'opinion publique française et européenne. A-t-on intéret à traiter avec - ou à s'installer dans - une Alsace qui ne veut pas qu'on touche à elle ?

Si l'on voulait dire que l'Alsace ne doit pas perdre ses spécificités et ne doit pas être diluée dans un projet régional politicien, né sur les bancs du groupe des députés socialistes, bref que l'on veut une vraie concertation, un large débat, on peut le dire autrement qu'en paraphrasant Harlem Désir et son "touche pas à mon pote"

jeudi, 3 juillet 2014

Lettre ouverte et agacée au directeur des sports de TF1 avant France Allemagne

Cher Monsieur,

Demain soir vous allez nous administrer un nouveau malaise, des agacements et de l’inutile nervosité en nous infligeant les jacasseries de  par le truchement du duo Jeanpierre-Bixente Lizarazu. J'exclue Arsène, toujours sobre et tecnique.

Ëtes vous conscient de la fuite imperceptible de vos téléspectateurs des derniers matchs de la coupe du monde, en tous les cas, de leur mécontentement ?

Par delà vos statistiques et vos chiffres d’audience, le malaise !

Une détestation commence à se faire jour et nombreux sont ceux qui éteignent le son pour ne garder que les images de vos diffusions. Combien vont su Bein, combien vers des chaines étrangères ?

Votre duo agace prodigieusement. Plutôt que de commenter sobrement les phases de jeu en songeant à ceux qui sont derrière leur petit écran, ils font leur cinéma à deux balles, rigolades totalement incompréhensibles, humour stupide de l’entre soi au détriment des joueurs. S’ils veulent faire de l’humour et jouer les comiques c’est raté, personne ne rie avec leurs rires privés.

Un match est une dramaturgie et non pas une distraction pour commentateurs de bas niveau.

Que dire des éléments de langage : « cherche une solution » alors qu’à la fin de ce commentaire stupide le joueur a déjà passé le ballon. Que dire de la prétention imbécile de cette phrase qui devrait donner le sentiment que son auteur est dans la tête du joueur, voire son coach.

Que dire de « bonne lecture ». Il lit quoi le porteur du ballon en proie à son stress ?

Pourquoi se commettre en anecdotes pendant que le ballon file et donc que le téléspectateur n’est pas renseigné sur les phases de jeu au bénéfice du blabla ?

Et ces jeux de loterie qui viennent polluer le match ? On comprend que cela fait partie de votre marketing mais là encore ils se déroule au détriment du match lui même. 
Prenez exemple sur les retransmission sur les chaines allemandes où un seul commentateur explique avec professionnalisme et sobriété les phases du match.

Demain soir je crains que les mêmes soient à la manœuvre de manière despotique. Je crains que, inconscient de ce que ressentent vos téléspectateurs, vous ne procédiez à aucun changement.

Je serais donc contraint de chercher une autre chaine qui, elle, respecte mon envie de suivre un match non pollué par des incompréhensibles et indécentes rigolades ou par des commentaires déplacés.

 

mardi, 1 juillet 2014

Le foot sur TF1. Virez Christian Jeanpierre et Bixente Lizarazu-

Le duo Christian Jeanpierre-Bixente Lizarazu-,( j'exclue Arsène Wenger toujours sobre et technique) m'exaspère au dernier degré. 
-Les rigolades entre eux auxquelles personne ne comprends rien et qui n'ont pas leur place dans la dramaturgie d'un match -humour privé imbécile-
-les formules innovantes et pseudo intello: "cherche une solution" alors que le joueur vient à peine de toucher la balle et l'a déja passée à la fin de la phrase
-les considération inutiles sur leurs propres histoires alors que le jeu se déroule 
-tout cela fait que regarder un match sur TF1 et subir ces jacasseries est une épreuve. Pourquoi pas un seul commentateur sobre comme sur les chaines allemandes?

L'autre qui a commenté le matche Algérie-Allemagne a bien répété vingt fois pendant le matche "Et la France ne connait toujours pas son adversaire des quart de finales" Stupide au possible. Il faut lui expliquer que c'est à la fin du matche qu'il y a un vainqueur.

On n'est pas aidé et j'en connais beaucoup qui mettet les images télé, coupent le son et écoutent les commentaires sur France Info, Europe ou RTL;

Dans le cadre de la transparence généralisée peut-on savoir combien ils touchent pour nous agacer de cette manière?

je me venge des scouts lien http://m.france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/2014/06/29/robert-grossmann-en-guest-star-des-scouts-508517.html

Robert Grossmann, en guest star des "Scouts"

Publié le 29 juin 2014 à 11h56, mis à jour le 29 juin 2014 à 19h02
grossmann5.jpg
© France 3 Alsace | Robert Grossmann, avec Denis Germain
Danièle Léonard

La célèbre revue "Les Scouts" a fêté ses 35 ans samedi soir au Zénith de Strasbourg. Au programme : un spectacle de trois heures et un invité-surprise : l'ancien président de la CUS Robert Grossmann, si souvent brocardé par la troupe et proclamé star de la soirée.

Voir la vidéo
Robert Grossmann chez les Scouts
Reportage d'Isabelle Michel, Xavier Ganaye, Suzanne Erkalp et L.Guigues - Robert Grossmann - Denis Germain, comédien - Nathalie Mercier, comédienne - Fayssal Benbahmed, comédien

jeudi, 19 juin 2014

Ali Baddou se donne de l’ampleur et joue dans l’avant cour des grands. Il est devenu contreproductif et agaçant.


On se souvient de lui au grand journal de Canal il y a quelques années, il présentait une critique littéraire sous la direction de Michel Denizot,

C’était son premier second rôle à la télé. Il était déjà en recherche de singularité et le manifestait par une gestuelle originale. En général les critiques littéraires manipulent le livre dont ils parlent, le feuillètent et l’exhibent. Baddou, lui, en parlait, une main possessive posée sur la tranche du livre présenté verticalement sur la table, c’était sa chose à lui.

Son débit aussi était recherché, des phrases enfilées sans pause mais des mots tirés, syncopés.

Son air renfrogné, sombre, trahissait pourtant de la frustration, genre « Je mérite mieux que ça, je vaux bien plus qu’eux… » Bref il tirait un peu la gueule dans son second rôle.

 

Et voici que nous retrouvons Baddou patron. Patron du journal de 13 heures sur Canal. Il a largué son air de docte accablé et se montre souriant, agité, rigolard. Métamorphose soutenue par le succès de l’ambition. Il dirige enfin !

Depuis quelques mois la mue s’est accentuée. Il a fait du média training, la gestique est étudiée, fruit d’un entrainement intense. Professionnellement mécanique.

La parole est soutenue vigoureusement par de vastes jeux de mains : jointes vers le plafond comme en prière, doigts entrelacés et balancés de gauche et de droite, bras ouverts, tendus vers le ciel, très christique,

On ne voit plus que ses mains et ses bras agités artificiellement, en permanence. Rien n’est naturel, rien n’est authentique !

Suivre ces  sarabandes est déjà perturbant mais ça n’est pas le plus grave.

 

Baddou se veut chef. Donc il cheffe par une parole incontinente. Il parle tout le temps et ne cesse d’interrompre ses collègues et ses invités.

Il procède à de longues introductions syncopées, introduit un sujet ou pose une question et dès que son interlocuteur veut s’exprimer il coupe, reparle et traite lui même le sujet ou apporte la réponse à sa propre question. Histoire de montrer qu’il sait, qu’il sait avant  les autres, mieux que les autres.

C’est haché, émietté, fragmenté. Ça provoque aussi des brouhahas puisque d’autres voudraient s’exprimer. Alors par moments chacun parle en même temps et le chef plus fort que les autres. Trop souvent on ne comprend pas grand chose, surtout lorsque pour se faire entendre néanmoins, les autres parlent « sur les autres » et « sur Baddou ».

Quand Domenach, le chroniqueur politique veut s’imposer et apporter une réponse ou une analyse, il est obligé d’arracher la parole à Baddou qui, évidemment connaît la politique mieux que tous et coupe Domenach.

De Caunes aussi à contre emploi…

Par ailleurs le style Canal qui veut faire d’jeuns est aussi horripilant avec ses chauffeurs de salles qui provoquent et forcent des hurlements et des applaudissements, surtout le soir avec de Caunes et ses blagues à deux balles

Mon cher et couteux Canal+ commence à me fatiguer. Peut-être pourrais je m’en passer.

Pourtant j’ai de l’intérêt à écouter les analyses de Domenach à 13 heures de d’Apathie à 19 heures.

Si on pouvait calmer Baddou…et expliquer à de Caunes qu’il n’est pas dans une émission humoristique des années 1980…

Les effets pervers du projet de « Régions-Hollande »

Comme la plupart des projets de l’actuel président de la République celui sur les régions crée du désordre et divise les français.

Inspirée par une vraie bonne intention, simplifier la vie administrative, sa proposition est une fausse bonne solution. Elle a été façonnée dans la précipitation sur base de petits arrangements et elle apparaît incohérente à beaucoup.

Le pire dans cet exercice de découpage est bien le projet de région « Limousin-Poitou-Charente-Centre »  assemblage catastrophe de pays dont on ne savait que faire et qui n’ont aucun lien entre eux.

En réalité l’intérêt de ce « fusionnage » ne saute pas aux yeux. L’argument des grandes régions « à dimension européenne »  ne convainc pas, celui des économies laisse dubitatif et sceptique.

L’UMP aux coté des extrémistes et des autonomistes

Dans l’Est il est proposé de fusionner, - le mot est malheureux -, l’Alsace et la Lorraine. La Champagne prévue dans un premier temps a été écartée et on a oublié d’expérimenter l’addition du territoire de Belfort.

Le président de la région Alsace et son homologue Lorrain ont annoncé leur accord au cours d’un « sommet » à Wingen sur Moder. On suppose qu’ils ont été mandatés par leurs assemblées.

Pourtant à considérer les réactions qui se font jour on n’a pas le sentiment d’une complète adhésion des alsaciens. Le président de l’UMP et un grand nombre de parlementaires UMP sont opposés. Des secrétaires départementaux adjoints de l’UMP mènent un combat plus radical aux cotés des extrêmes et des autonomistes. (DNA 19/6/14)

En effet ce projet génère un effet pervers. Il redonne du souffle aux autonomismes avec le sentiment très net du repli identitaires

Certaines de ces oppositions, virulentes et tonitruantes sont fondées sur l’irrationnel en agitant la crainte de voir disparaître l’Alsace.

Qui pourrait imaginer une disparition de l’Alsace ? Qui pourrait la voir, « rayée de la carte » comme l’écrivent MM. Bourhis et Lebold de l’UMP? (DNA 18/6/14)

Cet argument destiné à faire peur fait penser à ceux utilisés pendant la campagne pour notre malheureux référendum : Colmar va voir supprimée sa préfecture et sera sous tutelle de Strasbourg !

Car les partisans de « Touche pas à l’Alsace »  suscitent un autre sentiment irrationnel et stupide : la peur de la Lorraine.

Le repli identitaire

Ces arguments fallacieux sont, comme toujours fondés sur le conservatisme et, il faut bien le reconnaître, sur le repli identitaire.

On veut préserver quelle identité administrative? Voyons la réalité en face. Le référendum a porté un mauvais coup à l’Alsace dont elle mettra longtemps à se relever. Le sentiment qui en résulte est que  notre identité est fondée sur une mosaïque d’intérêts particuliers géo localisés. Ce qui se dégage d’avril 2013 c’est que le Haut-Rhin voulait rester le Haut-Rhin, Colmar s’opposait à Strasbourg, chacun voulait continuer à régner sur son petit pré carré.

Il y a donc quelque chose de désespérant dans ces réactions fondées sur l’immobilisme et qui, aux yeux des autre régions, à commencer par la Lorraine, portent atteinte à la crédibilité de l’Alsace et à la confiance qu’elle peut avoir en elle.

 Remettre sur le métier ce mauvais projet

Le projet Hollande est globalement mauvais, vide de tout contenu, générateur d’irrationnel. On peut ne pas être d’accord avec la fusion de l’Alsace à la Lorraine mais il

faut en débattre sereinement, arguments contre arguments. Il faut organiser une vraie concertation et, en tous les cas, remettre l’ouvrage sur le métier

Quant à ceux qui crient « Touche pas à l’Alsace » ils desservent l’Alsace et le temps pourrait advenir où les mêmes décerneraient des brevet de pureté alsacienne en maniant la notion de souche alsacienne.

Je conclurai en citant un comédien alsacien important, acteur dans de nombreux grands films et pièces de théâtre qui, dialoguant avec moi, me disait son ras le bol d’une certaine Alsace, « cette grosse endormie sous sa couverture de choucroute et de victimisation »

Provocation d’artiste sans doute un peu excessive mais destiné à nous réveiller.

 

 

 

 

vendredi, 13 juin 2014

J'ai signé cet appel, la culture ne doit pas être anémiée

À l'attention de Monsieur François Hollande, Président de la République, Palais de l’Élysée - 55 Rue du Faubourg Saint-Honoré, 75008 Paris

À l'attention de Mme Aurélie Filippetti, Ministre de la Culture et de la Communication - 3, rue de Valois 75001 Paris

À l'attention de Monsieur François Rebsamen, Ministre du Travail, de l’Emploi et du Dialogue Social - 101 rue de Grenelle 75007 Paris

Tribune des partenaires culturels, économiques et des élus, relative à la signature de l’accord UNEDIC National Interprofessionnel du 22 mars 2014 relatif à l'indemnisation du chômage, appelant François Rebsamen, Ministre du Travail, de l’Emploi et du Dialogue Social, à ne pas agréer cet accord.

Monsieur le Président, Madame la Ministre, Monsieur le Ministre,

Nous, directeurs de structures culturelles, acteurs de l’économie locale et régionale, élus locaux et régionaux, signataires de cette tribune, partageons les inquiétudes exprimées par le mouvement des intermittents du spectacle.

L’accord intervenu le 22 mars entre les partenaires sociaux relatif à l’assurance chômage déstabilise encore davantage les plus fragiles et précaires bénéficiaires de cette solidarité́ nationale sur laquelle est basée une grande partie de l’économie du spectacle vivant en France.

Nous déplorons notamment l’absence de prise en compte des travaux réalisés depuis 10 ans par le Comité de suivi, réunissant un certain nombre de parlementaires et de membres d’organisations professionnelles représentatives des métiers de la culture.

Nous nous inquiétons enfin des probables annulations de festivals en cours et à venir et des conséquences qu’elles auront non seulement sur l'économie du spectacle vivant, mais également sur tout un pan des activités liées à ce secteur*.

Pour toutes ces raisons, nous, signataires de cette tribune, vous demandons de ne pas agréer cet accord afin que de nouvelles négociations puissent avoir lieu, prenant en compte les propositions du Comité de suivi.

Nous vous prions de croire, Monsieur le Président, Madame la Ministre, Monsieur le Ministre, en l'expression de nos sentiments respectueux.

*hôtellerie, restauration, transport, prestations de service ... 23 millions d'euros pour la seule ville d'Avignon et selon l'étude sur l’apport de la culture à l’économie française, publiée le 3 janvier 2014 : le secteur culturel dans l’économie représente 3,2 % du PIB en 2011 et 670 000 emplois en France.

samedi, 7 juin 2014

Où en est l’UMP du Bas-Rhin, quelle est sa ligne sur la réforme régionale?

Le président départemental de l’UMP, le sénateur Reichhardt est aussi vice président du Conseil Régional présidé par Philippe Richert, UMP.

Ce dernier, qui a organisé le « sommet de Wingen sur Moder » avec son homologue Lorrain, se prononce en faveur de la grande Région Alsace-Lorraine.

Les secrétaires départementaux de l’UMP du sénateur Reichhardt mènent campagne contre la grande région Alsace Lorraine.

Quelle est la position du sénateur président ?

Favorable à son Président de Région UMP ou soutien des secrétaires départementaux de son UMP ?

mercredi, 4 juin 2014

Festival de Musique de Strasbourg, un naufrage qui aurait du et pu être évité!

Depuis de nombreuses années l'historique festival de musique de Strasbourg créé par l'immense Charles Munch connaissait des difficultés financières.

Nous avions tiré la sonnette d'alarme mais nous faisions face.

En juin 2013 le maire PS nomme son attaché de cabinet, Philippe Olivier, directeur de ce festival... sans appel à candidature, sans audit financier, sans projet.

En octobre 2013 en présence de deux anciens ministres de la culture, Catherine Trautmann et Jacques Toubon Philippe Olivier annonce, flamboyant, un programme 2014 de très haut niveau. Puis il tombe malade.

Juin 2014, à une semaine du premier concert, la catastrophe, le festival est annulé.

Imcurie! C'est bien dans l'extrême urgence et au pire moment que cette décision est prise.

Symbole d'une politique culturelle calamiteuse. Aujourd'hui le premier adjoint chargé de la culture lache ce mot "il pensait pouvoir disposer du carnet de chèque de la ville". Mais ce sont eux qui l'ont nommé, il faisait partie du cabinet du maire, ils auraient du savoir. Nous on le connaissait

dimanche, 25 mai 2014

UMP la débacle prévisible. J'en appelle à un sursaut

Ce séisme est tout sauf une surprise. Il s’agit avant tout d’une débâcle pour Hollande et le PS. Dans la circonscription du grand est l’artifice stupide de chercher Martin contre toute logique est vigoureusement rejeté.

Mais voilà que les électeurs sanctionnent aussi très lourdement l’UMP.

Je regrette que ses militants n’aient pas eu le courage, ici comme à Paris, de chasser les mauvais chefs qui l’ont conduit à cette déroute.

Je rappelle à ce sujet ma lettre à Copé par laquelle je rejetais sa gouvernance de l’UMP et celle de ses affidés de l’organigramme.

Profondément attaché aux fondamentaux du gaullisme je suis persuadé que seule une révolution interne peut permettre à l’UMP de se refaire une santé. Le comportement suiviste de ses cadres est désavoué par le peuple qui ne se reconnaît pas dans ces pratiques.

Les affaires internes, les candidatures de compensation et de complaisance, les gesticulations de la droite forte singeant le FN, trouvent aujourd’hui leur aboutissement catastrophique.

Il faut une rupture et sursaut interne profond car la France a besoin d’un parti  de la droite républicaine crédible.

Je ne peux me satisfaire de l’ouverture de ce boulevard pour le FN et j’en appelle à ce sursaut !

 

 

- page 7 de 74 -

{{tpl:bandeauDefilantFavicon}} {{tpl:bandeauDefilantBlogName}} {{tpl:bandeauDefilantBlogCategory}} «{{tpl:bandeauDefilantBlogItem}}»