Les actes racistes déclenchent bizarrement une bataille médiatique indigne dont l’enjeu est d’apparaître le plus populaire et le plus républicain possible.

Au lieu de répondre à ma demande de réunion du CISPD formulée le 27 septembre, au lieu d’associer son opposition républicaine aux initiatives qu’il peut prendre, le tandem Bigot - Ries veut confisquer à son profit exclusif le bénéfice d’une attitude anti raciste, anti xénophobe, anti sémite.

Seul le tandem Bigot – Ries lave plus blanc tel est le message qui se dissimule dans « l’appel » de R.Ries puis dans la demande de M.Bigot au préfet d’organiser une réunion de travail. C’est tout à fait indigne !

La demande de M.Bigot n’a été formulée qu’en écho et à la suite de ma propre demande adressée au préfet.

Pour quelle raison le tandem exclue-t-il les partis républicains et leurs élus du conseil municipal, issus du centre de l’UMP ou des indépendants de toute initiative ?

Pourquoi n’a t il pas cherché à associer à son appel et à sa demande le président UMP du conseil régional, le président UMP du conseil général ?

Pour quelle raison vouloir apparaître les seuls chevaliers blancs ?

Le comportement du tandem Bigot –Ries est aux antipodes d’une attitude de rassembleurs.

Ce n’est pas le consensus et la cohésion de tous les républicains qui est recherchée mais la prééminence médiatique.

C’est finalement en sectaire dogmatique que se comporte ce tandem.

 

Je maintiens mon très vif étonnement devant les réactions du tandem consistant à lancer des appels, à dispenser des communiqués, à annoncer des défilés alors que c’est dans la discrétion du travail effectif, en présence de toutes les forces antifascistes qu’il convient de résoudre ces graves désordres et retrouver les coupables.

Il est d’ailleurs très étonnant que toutes les forces ne soient pas jetées dans cette bataille dont l’enjeu est l’éradication des nazillons mais aussi l’image et la réputation de notre ville.

La bataille médiatique n’est surement pas de nature à dispenser une image d’un Strasbourg où il fait bon vivre