Nicolas Sarkozy, Jean-Marie Bockel et lAlsace.
Par Robert Grossmann le vendredi, 29 juin 2007, 09:02 - politique - Lien permanent
« Lidentité sans ouverture nest pas une bonne chose; louverture sans lidentité ne lest pas non plus » cest lune des phrases fortes que le président de la République a prononcée devant les 25 parlementaires et grands élus dAlsace quil avait réuni à déjeuner en présence de Roger Karoutchi, du directeur de cabinet de François Fillon, Jean-Paul Faugères, de Jérôme Peyrat et de Catherine Pégard du cabinet de la présidence.
Il a fait une introduction tout à fait éblouissante au débat qui traversait le milieu politique alsacien après la nomination de Jean-Marie Bockel au gouvernement. Développant son argumentation à propos de louverture de son gouvernement à des ministres de gauche, le président a dressé un tableau complet et brillant des ses projets et de sa méthode. On pourrait dire en un mot quil ne souhaite pas reproduire des procédés qui ont été néfastes et qui ont conduit à des échecs. Cest ainsi quil a parlé avec éloquence de Rachida Dati, de Christine Lagarde, des autres femmes quil a promu à des postes de responsabilités effectives, en ne se contentant pas dun affichage féminin gadget. Léconomie et les finances, la justice confiées à des femmes constitue un vrai message, un vrai changement.
Il est vrai que la nomination dun membre du PS au gouvernement a traumatisé tous les élus de notre région qui ont contribué à la victoire de
Cest bien pourquoi le président de la République a tenu à expliquer sa volonté douverture : il veut tenir compte de létat de la France toute entière et non pas seulement de ses propres partisans.
Plusieurs parlementaires ont pris la parole et le premier fut Jean-Luc Reitzer qui de manière mesurée mais très ferme a évoqué le malaise alsacien.
Celui-ci, de manière claire a revendiqué son choix de nommer le maire de Mulhouse. Il a rappelé à
Jean Uberschlag,
Jai pris la parole à mon tour en félicitant le président pour les premiers actes si forts de sa présidence et notamment la relance de lEurope « Mais, ai-je insisté, les membres de votre gouvernement issus du PS devraient produire leur effets et drainer vers notre majorité une partie de l'électorat de gauche, ce qui ne fut pas le cas au deuxième tour des législatives. Jenchaînais en rappelant combien lAlsace avait besoin de la seconde ligne du TGV et Strasbourg de voir confirmer par le France, très fortement, son statut européen.
Le président a répondu par un long et passionnant développement sur la situation des grandes villes dont il connaît bien les spécificités. Rejoignant mon analyse il a évoqué les votes de Bordeaux, Toulouse, Caen, Tour, Lyon et sest déclaré décidé à mettre en uvre une politique de la ville innovante et adaptée aux problèmes des grandes agglomérations.
Quant au TGV sa réponse lui a permis de manifester son étonnement de ce retard de plusieurs décennies dont a souffert lAlsace.
« LAlsace na pas été bien comprise depuis trop longtemps, cest une région qui a beaucoup souffert par le passé qui a été victime aussi de délocalisation dentreprises aujourdhui, je tiens à me préoccuper personnellement des questions de Strasbourg et de lAlsace. Et cest pourquoi je tiendrai un conseil des ministres à Strasbourg à lautomne. Je viendrai la veille, je passerai une nuit en Alsace je veux consacrer du temps à votre région et les ministres me rejoindront le lendemain.
De même, dès que la France présidera lEurope, au deuxième semestre 2008, jorganiserai une ou plusieurs rencontres européennes à Strasbourg. »
Voila des engagements réels et qui démontrent combien lAlsace tient au cur de
En ce qui concerne Jean-Marie Bockel membre du gouvernement, je suis persuadé quil sera loyal à légard du Président de la République, engagé en faveur de sa majorité et par conséquent de ses nouveaux partenaires. Il fait maintenant partie de la majorité présidentielle.
A Strasbourg où nous navons eu avec
Jai trouvé hier un président de la République qui ne sest pas laissé couper des réalités et qui veux rester proche du peuple. Les ors du palais de lElysée ne limpressionnent pas, il veut sortir le plus souvent possible « voir les gens, voir ses concitoyens »
Sa réactivité à légard de lAlsace à la suite du malaise quil a perçu, est remarquable : invitation à déjeuner sur le champ sans laisser passer de délai, réunion républicaine à Strasbourg lundi 2 juillet, engagement de tenir un conseil des ministres à Strasbourg puis des rencontres européennes. Quel président aurait une telle sollicitude à légard de notre région ?
Il a su trouver aussi les mots qui parlent au coeur des alsaciens et cela je ne lai plus entendu depuis le fameux « Strasbourg, de toutes les villes de France la plus proche de mon cur" du Général de Gaulle il y a bien longtemps.
Commentaires
Cher Robert Grossmann,
je me doutais dès le début que les choses prendraient ce tour là. Je n'étais pas entièrement d'accord avec ceux qui critiquaient la nomination de M. Bockel, même si je pouvais partager la déception de ne pas voir une femme ou un homme de l'UMP nommé(e) au gouvernement. Je m'étais laisser dire que la volonté d'ouverture du président de la République serait payante pour la France et que s'il fallait qu'elle concerne les alsaciens, alors il faudrait en prendre son parti. Je ne partageais pas non plus l'opinion de certains amis qui voyaient chez Nicolas Sarkozy un désamour pour notre Région. Tout cela se confirme et je vous remercie de nous faire part des entretiens que vous avez, collectivement, eu avec Nicolas Sarkozy. Les choses sont désormais claires, le président n'oublie pas l'Alsace, le président porte lui aussi l'Alsace dans son coeur, et je crois que lundi il fera un vrai plaidoyer pour Strasbourg, la Capitale européenne. Il aime les symboles. Il a, avec ses partenaires, relancé l'Europe et c'est à Strasbourg qu'il vient en tirer publiquement les conclusions et enseignements qui s'imposent.
Vivement lundi !
Ah oui, vivement lundi. Dans le journal Libération ce matin, il semblait que le compte-rendu de ce déjeuner était moins idyllique.
Lundi, on verra quels politiques seront ou non présents et lesquels feront boycot contre cette "réunion républicaine" et surtout contre le nouveau Président.
Comme toujours on essaye après d'acheter les alsaciens avec un peu d'argent...Sympa Sarko.
Quant au "traité simplifié" son nom porte en lui déjà les germes de problèmes futurs. Si l'Europe ne mérite qu'un mini traité, on voit où nous en sommes !
Doit-on être perfide et rappeller que l'Europe semble être le cadet des soucis des français actuellement ? N'y avait-il pas plus urgent à faire vu l'état du pays ?
Reste aussi que ce matin, le journal Le Figaro était le plus clairvoyant comme souvent, surtout dans son bloc-notes : "la gauche est dorlotée. Pour elle, Nicolas Sarkozy a fait supprimer du futur traité européen la référence à la « concurrence libre et non faussée », qui existait dans l'ex-Constitution. Le « rôle essentiel » des services publics y sera rappelé. « Dans la délégation française, je suis le seul qui ne soit pas socialiste », s'amuse le chef de l'État, accompagné à Bruxelles de Bernard Kouchner et de Jean-Pierre Jouyet. La droite tient la chandelle, dans cette opération de séduction.
Ceux qui, en 2005, ont rejeté une Europe sans frontières ni âme ne se reconnaissent pas dans ces amabilités aux « nonistes » antilibéraux. Certes, le terme de Constitution disparaît. Mais demeure, au prétexte de respecter « la richesse de la diversité culturelle, religieuse et linguistique » de l'Union, ce même attrait bien-pensant pour le multiculturalisme et ses communautés, qui met en danger l'unité et la stabilité des États-nations."
Cher Robert,
Vous dites ici ce que beaucoup d'alsaciens non élus pensent : la nomination de M. Bockel est tout sauf une insulte aux alsaciens. Certe, bien d'autres talents sont présents chez nous (en témoigne le travail de François Loos ces 5 dernières années). Permettez-moi d'élargir votre pensée : la nomination de M. Bockel est une opportunité pour notre région. Je ne doute pas qu'il sera être un atout de poids (comme il l'a toujours été) pour les intérêts que nous partageons tous.
Ahhhh Arlette Grosskost et son sens aigu de la diplomatie A limage dun Devedjian elle est même capable de traiter notre ministre Alsacien de
Amusante aussi la Sarkomania du doyen des parlementaires Alsaciens Jean Ueberschlag qui, pas plus tard que lors des élections internes de lUMP en 2005, nhésitait pas à faire ôter les affiches du Président de lUMP dalors pour les faire remplacer par des affiches de notre actuel ancien Président de la République. Les temps changent Ce ne sont pas les girouettes qui tournent, cest le vent avait dit un jour un spécialiste en la matière
Tout aussi amusante cette remarque « si lAlsace a bien voté nous y sommes pour quelque chose » Jai la naïveté de croire que si lAlsace mais aussi la France ont bien voté cest en premier lieu grâce au Président de la République lui-même. Si lAlsace a bien voté cest peut-être aussi grâce aux nombreux militants et sympathisants UMP qui ont labouré le terrain alors que dautres partaient en vacances Si lAlsace a bien voté cest aussi et surtout grâce aux électeurs Alsaciens ! Sagissant de ses élus, no comment. Je tiens juste à rappeler que lAlsace a obtenu son autoroute et son TGV, 20 ans après tout le monde signe dune efficacité redoutable
Pour être franc, je perçois davantage la grogne de certains grands élus de notre Région comme un caprice que comme un véritable malaise des Alsaciens. Bien évidemment des militants sont mécontents de ne pas avoir leur ministre mais Fabienne Keller a refusé pour respecter sa parole de 2001 et je pense quelle a eu raison. Notre Blogmaster aurait pu mettre ses compétences culturelles au service de lEtat, Yves Bur aurait pu parler santé ou Antoine Herth Agriculture mais voilà le Président de la République a fait des choix et na pas voulu réitérer les erreurs commises en 1995 signe que les temps changent.
Du coté des Alsaciens, en ville comme à la campagne, la nomination de JMB nest pas la première de leurs préoccupations, du moins de ce que jentends à mon niveau. Lorsque le cas de notre ministre est évoqué cest plutôt de manière positive car, quon le veuille ou non, limage de JMB est bonne dans notre Région. Dans un second temps, elle fait aussi sourire car certains auraient bien aimé voir la tête de tel(le) ou tel(le) élu(e) au moment de cette annonce Javoue que moi aussi
Je retiens surtout de cette rencontre que le Président de la République aime lAlsace et le montrera par des actes concrets. Sa venue de lundi est une première étape. Sa visite de rentrée constitue un formidable signe et pourrait peut-être intervenir pour la foire européenne. Jattends avec impatiences des annonces chiffrées et définitivement entérinées pour le financement de la seconde phase du TGV Est. Jattends aussi des actes concrets en faveur de Strasbourg, capitale de lEurope. Tant quon y est, Strasbourg pourrait aussi profiter de loccasion pour arracher quelques aides financières pour financer les extensions futures de son Tramway. Elles compenseraient celles que lancien Président de la République et son gouvernement avaient promises mais qui ne sont jamais intégralement arrivées
On verra Lundi !
Toi le frère que je n'ai jamais eu...
Bien, vous voilà rassurés et cela me comble de joie car j'y vois une cristallisation de ce qu'il pourrait y avoir de meilleur en politique en Alsace depuis de nombreuses décennies.
JMB réunit sur sa personnalité la marque de notre province : le refus des extrémismes et je suis convaincu qu'il saura très bien enrichir ce gouvernement de cette spécificité alsacienne qu'est la culture rhénane.
Bonne chance et bon repos dominical.
Mon Cher Johnny Halité,
je suis heureux que nous ayons été, vous et moi, un petit peu moins fiévreux qu'un certain nombre des nôtres de droite, et j'exclus assez volontiers notre blogmaster qui s'interrogeait plus qu'il ne décriait. Je vous rejoins. J'ai eu l'occasion de consulter votre site (qui, permettez-moi de vous le dire, a déjà connu plus d'énergie. Dans le même temps,je ne saurais qu'espérer que vous ayez consulté celui que je tiens avec mes amis.). Jean-Marie Bockel, il faut le souligner, sans exclure le talent d'autres, nombreux et nous savons tous les citer, a d'incontestables qualités.
Là où nous points de vues divergent, c'est sur la venue prochaine du président de la République. Pourquoi donner une couleur financière à une rencontre du président avec le peuple de France ? Pour un Gaulliste, vous me permettrez de vous dire que vous me décevez, cher Halité! Moi j'attends, et Laurent Husser en aura pour sa vindicte, que le président de la République nous explique ce qu'est le Traité SIMPLIFIE (et, non, cher Laurent Husser, MINI, j'insiste), et pourquoi, dans une Europe élargie, il est important d'avoir des institutions qui fonctionnent.
En ce qui concerne notre blogmaster et Président, j'attends, comme chacun des Strasbourgeois, qu'il reçoive Notre Président comme il se doit, c'est-à-dire mieux que que tout un chacun, et surtout pas en lui tombant sur le paletot avec des considérations qui sont du ressort de nos élus, qui, d'ailleurs, savent gérer.
Pourquoi ne pas avoir nommé un édile strasbourgeois (R.G. par exemple)au Ministère de la Culture?
Notre région vote à droite depuis quelques décennies maintenant, dès fois même très à droite. En tant que républicain, cette tendance à choisir les extrèmes ne pouvait plus durer. Et je remercie notre nouveau président pour avoir apporté un début de solution, en disant les choses, tout simplement, au risque de choquer ceux qui, de toute façon sont continuellement critiques.
Mais il ne faut pas oublier le travail de fond des élus alsaciens, pour entretenir ce vote à droite, qui reste exemplaire. Je rejoins Johnny, qui dit dans son blog, que le bilan du tandem strasbourgeois sera un des meilleurs depuis une trentaine d'années. La ville a changé, je la trouve plus agréable à vivre et les projets, tous menés à bien, très utiles à l'avenir. Mais le quinquennat ne s'arrête pas là. Jean Marie BOCKEL sera un bon secrétaire d'état, il a souvent des positions plus de droite que de gauche. Mais dans six mois, qui sait, un remaniement peut s'avérer nécessaire, les élus de la majorité auront toute leur place. Venons nombreux voir notre président ce soir au PGM, écoutons son discours que je soupçonne à nouveau de grande qualité et ayons confiance en l'avenir de notre pays. Avec des élus UMP alsaciens ou sans! Car n'oublions pas que Nicolas SARKOZY a promis plus de pouvoir à l'assemblée nationale, ils pourront donc, à loisir, faire bouger la France pour l'Alsace.
Et voilà, les parlementaires alsaciens UMP sont à nouveau tous contents...
Tout est bien qui finit bien...
Allez Arlette ne faites pas la tête...
Rangez-vous!
Encore bravo à Monsieur Le Président de la République d'avoir choisi le meilleur : Monsieur BOCKEL.
Quel revirement de situation! Sur l'un de vos précédents posts, vous n'hésitiez pas, Robert Grossman, à critiquer la venue de JM Bockel au gouvernement. Je sais qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, mais là...
Quoiqu'il en soit, c'est une belle leçon pour les élus UMP d'Alsace.
Une rumeur circule à propos d'ouverture. Une ouverture à droite pourrait sur un poste pourrait concerner la droite de la droite. Info ou Intox ?
Hergé, je suis amusé, on m'a diten effet que des ouvertures dans des postes de conseils ou groupe de travail pouvaient en Alsace, concerner la droite de la droite, l'extrême quoi !
Si tel est le cas, on va se marrer ... On aurait évoquer un domaine tech et des noms ? et chez vous ?
Là, je rigole, j'ai eu la même info d'un service de l'Etat. Avez-vous confirmation ?
Je tique ..... :-))))
Curieusement l'article un peu véhément sur la nomination de Bockel, et très critique sur la fameuse "ouverture" pratiquée par Sarkozy a disparu du blog... pour être remplacée par une déclaration d'amour dythirambique !
Nicolas Sarkozy veut organiser un Conseil des Ministres à Strasbourg : ce sera un coup spectaculaire, qui ne fera pas avancer les affaires locales et qui permettra surtout au président d'ébaubir les médias et l'opinion publique.
Je vous trouve un peu naïf, monsieur Grossmann.
des noms ?
Alberto, Annie, Cagliostro,
Allons au bout de la rumeur. Dans le cadre du développement de l'économie numérique, le gouvernement envisagerait de consulter des élus et spécialistes du domaine, il s'est dit, à Paris, qu'il existait en Alsace, des personnalités, à droite de l'Ump, qui pouvaient remplir ce rôle. Après l'ouverture à gauche, donc, NS séduira-t-il les marges ?
Des noms ? Allez, nous avons les mêmes et cela enerve déjà !Allons au bout de la rumeur. Dans le cadre du développement de l'économie numérique, le gouvernement envisagerait de consulter des élus et spécialistes du domaine, il s'est dit, à Paris, qu'il existait en Alsace, des personnalités, à droite de l'Ump, qui pouvaient remplir ce rôle. Après l'ouverture à gauche, donc, NS séduira-t-il les marges ?
Des noms ? Allez, nous avons les mêmes et cela enerve déjà ! Mais indice, l'un était à Paris récemment
Amusante .... je donne mon jack lang aux chats !
On veut les noms, l'auvergne à 3 ministres, l'alsace un et de gauche mais un conseiller d'etreme droite on prend aussi !
Alors c'est qui ? J'en connais un pointu sur le domaine et situé dans le nord cus
UN NOUVEAU RENDEZ-VOUS AVEC L'HISTOIRE
Après son voyage symbolique à Strasbourg,notre président nous a encore étonné suite à son discours du 12 juillet dernier.
Le 12 Juillet 2007, notre Président Nicolas SARKOZY a montré une nouvelle fois sa capacité de rassembler, d'écouter, d'être rétroactif : une page importante de notre histoire a lieu !
Soyons responsable du choix de la France, responsable pour nous-mêmes et pour les générations qui nous suivent, nous le devons au Général De GAULLE par le référendum du 28 octobre 1692, élection du Président de la République par le suffrage universel.
Notre Président, homme de volonté, homme de courage, homme de passion, homme de détermination apporte une solution aux problèmes de notre Pays et à le faire dans l'esprit des valeurs et principes auxquels nous sommes très attachés : Liberté, Egalité, Fraternité.
Son discours fondateur d'Epinal, Ville symbolique où le Général De GAULLE le 29 septembre 1946 a exprimé sa vision d'une république moderne et adaptée, termes fondateurs, de notre Cinquième République.
A juste titre, Nicolas SARKOZY poursuit donc son oeuvre en respectant les valeurs républicaines abandonnées lâchement par nos politiques depuis 1974 sauvant notre patrie.
A ce jour, il est le véritable héritier et gardien du Gaullisme à une Présidence de la République Française. Il peut librement librement s'en revendiquer !
De tout coeur, nous sommes avec vous ! Nous continuerons à vous soutenir tant que vous restez dans cette ligne de conduite ! Il est du devoir de chaque compatriote de soutenir notre Président de la République Française Nicolas Sarkozy et par son action notre Premier Ministre François FILLON.
VIVE LA FRANCE ! VIVE LA REPUBLIQUE !
Olivier TREILLARD
Délégué Région Rhône-Alpes et membre du directoire de l'association Présence Fidélité Gaulliste
100, rue Bossuet, 69006 LYON, gaullisterhonealpes@hotmail.fr
Vous voyez bien que le droite et la gauche peuvent gouverner ensemble sans qu'il y ait une cohabitation forcée. Regardez JM Boeckel dans le gouvernemnt de F Fillion. Ce n'est pas vous qui seriez capable d'une telle prouesse, n'est-ce pas ????