Pour en finir avec les querelles des partis à bout de souffle
Par Robert Grossmann le mercredi, 7 juin 2017, 17:27 - politique - Lien permanent
Les désordres, les divisions et les fractures qui les traversent sont funestes.
Rivalités, affrontements, formation de clans, tout cela est loin de l’intérêt général.
Dans une grande vacuité intellectuelle et culturelle, ils ne réussissent plus à se rassembler autour d’une pensée forte, sur des valeurs, pour un grand dessein.
Ils ne sont plus que le champ clos de batailles pour le pouvoir, des fabriques de candidats et de carrières dans l’entre soi.
La situation d’aujourd’hui n’est d’ailleurs pas sans ressembler à celle des années 1958/1960 qui a conduit les français à rompre avec les caciques et les pratiques des partis de la 4ème République.
Rejeter le système des partis, se rassembler pour la France était un des mots d’ordre de de Gaulle.
Il n’était pas mon candidat, j’étais resté fidèle au Fillon que j’ai connu il y a longtemps, mais il est aujourd’hui président.
Pour autant je ne serai ni béat, ni aveugle. Je garderai toute ma liberté et je jugerai l’arbre Macron à ses fruits non sans lui avoir donné la chance de réussir avec une solide majorité.
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