Un court extrait de " à mots découverts" à propos de la presse
Par Robert Grossmann le samedi, 31 octobre 2009, 09:50 - politique - Lien permanent
« Mais si je vous comprends bien, pour que je sois considéré comme sympa, il faut que je ferme ma gueule ? Lorsqu’on est agressé par des textes ou des propos de journalistes, ou, en général dans la vie, faut-il courber l’échine ? Je n’ai pas cette marque de fabrique. Je la laisse aux politiciens patentés. Je sais que c’est un tort de répondre à la presse lorsqu’elle écrit ou dit ce qui est à nos yeux une connerie ou une contre-vérité. On risque de le payer cher, mais lorsque votre conscience vous dicte de réagir, se taire serait une lâcheté…Réagir est aussi à mes yeux une marque de considération à l’égard de la presse et des journalistes. Le silence, l’absence de dialogue, voire le boycott sont bien plus méprisants » (…)
Commentaires
attention aux journalistes, vous n'aurez jamais le dernier mot
moi devant la presse je la fermerai plutôt
Peut on tout croire ce qu'il ya écrit dans un journal. Dans le passé on disait c'est vrai puisque c'est écrit dans le journal
je crois que les gens se méfient. Qu'est ce que vous allez nous dire sur ce sujet M.Grossmann, moi je suis impatient de vous lire
Vous lirez dans mon livre que j'estime que la très grande majorité des journalistes sont honnêtes et font bien leur métier qui n'est pas facile. Il ya des exceptions partout...
Et alors, Robert, quand on te donne des claques sur la joue droite, tu doit tendre la gauche pour qu'on recommence...
ça me rappelle cette blague "tends la joue gauche si on t'a frappé sur la droite, a dit le seigneur...Mais après il a plus rien dit et alors on se lâche et on reviens à la loi du talion ancestrale
Cela n'a aucun rapport avec votre livre mais je tiens à vous dire que c'est nul, choquant et mauvais électoralement pour vous qu'aucun membre du gouvernement ne soit venu au grand rassemblement des protestants. Pas étonnant qu'ils soient tous à gauche et que maintenant ils y restent. Je ne sais pas s'il y en a beaucoup à Neuilly, mais en Alsace ils comptent beaucoup. Attention les régionales!