« Mais si je vous comprends bien, pour que je sois considéré comme sympa, il faut que je ferme ma gueule ? Lorsqu’on est agressé par des textes ou des propos de journalistes, ou, en général dans la vie, faut-il courber l’échine ? Je n’ai pas cette marque de fabrique. Je la laisse aux politiciens patentés. Je sais que c’est un tort de répondre à la presse lorsqu’elle écrit ou dit ce qui est à nos yeux une connerie ou une contre-vérité. On risque de le payer cher, mais lorsque votre conscience vous dicte de réagir, se taire serait une lâcheté…Réagir est aussi à mes yeux une marque de considération à l’égard de la presse et des journalistes. Le silence, l’absence de dialogue, voire le boycott sont bien plus méprisants » (…)