Donc les listes fusionneraient au soir du 9 mars. Cela signifierait que selon l’état des négociations, la gentille avocate, que l’on n’aperçoit dans aucun débat et qui n’est valorisée nulle part alors qu’elle est N°2, risque de faire les frais de la fusion ainsi qu’un bonne quizaine d’autres colistiers du « transitoire »

Madame Cutajar serait alors N°2 et comme on la connait elle négociera le poste de premier adjoint si le stratagème marchait !

On murmure même qu’il y aurait des négociations trilatérales, PS-Verts-Cutajar. Et M. Jund lui aussi négocierait une bonne place…président de la CUS, pourquoi pas ?

On peut donc imaginer sans crainte de se tromper que si ces négociations sortaient de la clandestinité une quinzaine de colistiers du candidat « transitoire » seraient conduits à la porte de la liste pour faire place à autant de candidats des listes aujourd’hui fictivement rivales.

Bon, c’est de la politique fiction mais parfois la réalité dépasse la fiction, comme chacun sait