Roland Ries a pu sappuyer hier sur la béquille Delanoë.
Par ch le mardi, 5 février 2008, 08:06 - les coups de gueule de... - Lien permanent
Seul face aux strasbourgeois il est sans doute mal à laise avec pour projet ses attaques anonymes et sous la ceinture.
Pour linstant il déroule inlassablement un programme simple pour Strasbourg : « il faut écarter le tandem pour quavec Herrmann je puisse prendre sa place.
Cette place dont Trautmann ma écarté (pour quelles raisons ?). Cette place ou pendant mes deux ans dintérim je nai dérangé personne. Jétais là, heureux dy être ! »
Ils ont donc recommencé avec Delanoë, je cite « une gestion de gauche nest pas la même chose quune gestion de droite »
Et comme ça ne veut rien dire et que cest archi faux, il suffit de comparer les politiques de Frêche à Montpellier de Héraut à Nantes, de Gaudin à Marseille ou de Jupé à Bordeaux Quest ce qui peut bien les différencier doctrinairement ?
Donc comme cest stupide ils ressortent le célèbre monopole du cur.
Cest eux qui lont.
Interdit à qui na pas sa carte du PS de parler de social. Pire, den faire Comme Fabienne Keller la fait en rénovant les écoles et les crèches, en créant des maisons médicalisées pour troisième âge et tant dautres réalisations avec sa remarquable adjoint Catherine Zuber Interdit car : « Nous (les socialistes) nous avons par nature le devoir du social » Cette fois cest le monopole du devoir !
Au moment où jécris ce billet, Delanoë est reparti. Il est à Paris et rêve à sa mairie quil veut conserver tout en fantasmant sur le premier secrétariat du PS quil veut brigue sans le dire.
Et si sa tournée Strasbourgeois navait été quune étape de la campagne interne au PS ?
Sur ce plan Roland joue finement et courageusement.
Les deux prétendants ont été appelés à jouer les soutiens à tour de rôle le temps dune petite réunion, avant Delanoë, Royal.
Miser sur tous les tableaux à la fois est plus sûr.
Mais les strasbourgeois eux auront constaté de la part de lun et de lautre quils auront fait un petit tour et puis sen vont !
Commentaires
Mais bien sûr que c'est un courageux, le Roland. Toujours prudemment entre deux chaises, pour l'apparence, et en fait au pouvoir de celui qui grogne le plus fort. On imagine ce qu'en ferait Herrmann, si par malheur pour Strasbourg...
C'est vrai Monsieur Grossmann...vous vous n'avez pas besoin de vos amis parisiens ...pourtant Sarkozy aime tellement cette ville qu'il y est venu 3 fois den deux mois l'année dernière...il est vrai que c'était avant que ses turpitudes sentimentales ne le fassent plonger dans les sondages...
mais je parie que s'il n'était pas aussi bas et aussi empêtrée dans son narcissime ostentatoire qui écoeure de plus en plus nos concitoyens vous l'auriez invité à Stras bourg...
je prends le parie à 3 contre 1...ou 53 contre 47 si vous préférez....
Du côté de mon Blog, j'explique que Roland Rrrr, outre Bertrand Delanoë, s'appuie également sur le "déambulateur" du conseil général...
Mauvais joueur "le joueur" ! Mauvais parieur, tricheur et jaloux en plus des amours d'autrui ! Et pollueur de notre site, sans doute parce que "Chamallow" n'ouvre pas le sien de peur d'y voir affluer quelques détracteurs ! Allez donc cirer les bottes de votre "camarade"
Le joueur - vous le précisez vous-même - le président de la République est venu l'an dernier. Et en tant que Président de la République française. Pour un Conseil des Ministres décentralisé et Pour lancer son projet pour l'Europe dans la capitale de l'Europe (sujet qui désintéresse totalement M. RIES au demeurant).
Delanoë vient 1heure, faire de la réclame pour son putatif poste de Premier Secrétaire du PS. Strasbourg, il s'en fout. L'Europe, il s'en moque. Ries visiblement aussi. Ce qui intéresse M. Delanoé c'est son poste. M. Ries itou!
Les élections municipales sont des élections locales. Les Strasbourgeois mériteraient que, comme nous, vous vous intéressiez un peu à eux et à leur vie quotidienne plutôt que de vous exciter sur la personne du président de la République et du maire de Paris.
Je ne m'étais pas rendu compte de l'allusion "Monsieur Ries" s'appuie sur la béquille de Delanoë...!