On s’attendait franchement à autre chose.

Roland Ries partait sur le culte de sa personnalité gentille… «  bon souvenir » de sa période interim-maire.

Rappelons que Catherine Trautmann lui avait confié les fonctions de maire qu’elle avait alors conquises pour qu’il les lui garde au chaud.

La garde fut tellement efficace, la loyauté tellement éclatante, que dès son retour à Strasbourg Catherine tint, un an avant les élections municipales de 2001, à tout reprendre et à ne rien laisser à celui que a laissé un si bon souvenir.

C’est dire la confiance qu’elle eut alors dans le gentil Roland.

De ce bon souvenir laissé à tous les strasbourgeois, quelqu’un pourrait-il citer un seul projet du gentil Roland ?

Rien ! Pas le moindre… encéphalogramme plat !

Aujourd’hui, tenu par Robert Herrmann, encerclé par les apparatchiks les plus durs du PS, Roland qui n’a pas le moindre programme à lui, se lâche dans l’agression personnelle, dans les attaques ad hominem, dans les coups sous la ceinture.

En dehors des cris en salle de réunion privée ou publique, la méthode est celle des courageux: l'agression anonyme. C'est tellement plus commode d'être cagoulé lorsqu'on balance des cocktails molotov!

En 2001 le camp de Roland Ries ditribuait sous le manteau un libelle " le journal de Fabienne K" un ramassis d'insanités. Aujourd'hui le poison des cloportes est mieux conditionné, un texte sous pseudo, concentré de mises en causes personnelles.

C'est beau, c'est grand de la part des amis de celui qui postule aux fonctions de premier magistrat et dont ils écrivent qu'il a laissé un si bon souvenir

Programme :

« Le tandem n’a rien fait et tout ce qu’il a fait nous l’aurions fait »

« Il faut virer le tandem »

« Dehors le tandem »

Voila les riches apports à cette campagne électorale de la part de celui qui a laissé un si bon souvenir.

Au fond c’est tellement simple le projet socialiste : « ôte toi de la que je m’y mette ! »