Je me souviens de la cote d'amour médiocre de Jacques Anquetil qui pourtant était imbattable lorsqu'il courrait le tour de France. Super champion mais dont les victoires semblaient insolentes. C'était aussi le cas de Bernard Hinault, une incroyable mécanique qui en mettait plein la vue à tous ses concurrents. Ne parlons pas d'Armstrong identique par sa collection de victoires, s'il n'y avait son histoire de dopage.

Les français préféraient Poupou, le second qui n'arrivait pas à être le premier, malchance ou difficultés sportives, il arrivait derrière Anquetil. Ill ne gagnait pas

Quoi qu'on en dise quoi qu'on en pense, Anquetil, Hinault, Armstrong, par dela les critiques ou les côtes d'amour temporaires et éphémères, étaient les meilleurs!

Est ce qu'en politique on ne ferait pas mieux, tant les enjeux sont importants pour notre pays, d'aller droit vers le champion, celui qui, de loin est le meilleur, plutôt que de céder à la faiblesse des tendresses mal placées. Faut-il choisir celui qui arrive second, celui ou celle dont le programme est un sourire figé? On peut se permettre des états d'âme dans le sport qui est un jeu et dans le sport qui n'engage que les classements dans le journal l'Equipe. Lle championnat des présidentielles engage notre avenir.

Oui, tout réfléchi, allons donc vers le meilleur tout de suite...