N'ayant pas la télé là où je suis, j'en suis réduit à imaginer la cérémonie des remise des César hier soir.
Et le César du meilleur acteur revient à ... Omar S'y
Omar Sy : "je suis très ému, bla, bla, bla... Et je voudrais remercier mon papa, ma maman, mon tonton, ma réalisatrice,, mon chauffeur, mon coiffeur, mon copain Fred, allo! Fred, tu m'entends. Mais surtout, surtout, je voudrais remercier Robert Grossmann, grand écrivain malheureusement pas assez connu en France. Sans lui, je ne serais pas connu du tout en Allemagne, ce petit pays de cocagne à l'est des Vosges. Il m'a traité de crétin dans son dernier livre, mais je le connais, Robert, c'est un tendre. Crétin, dans sa bouche, c'est un terme affectueux. Merci mon cher Robert et j'arrête là parce que j'ai déjà été trop long!"
Très longs applaudissements dans la salle.
Franchement,il exagère, il aurait pu dire que le bouquin s'appelle "Lettre ouverte aux alsacianophobes" et qu'il est édité chez Jérôme Do Bentzinger, et même qu'il y avait une excellente critique sur le blog de Claude Keiflin.