Le Parlement Européen à Strasbourg. Non ce n'est pas le début de la fin!
Par Robert Grossmann le vendredi, 8 mai 2009, 18:19 - Lien permanent
La première de couv. du 7 mai du très sérieux quotidien la Tribune doit nous mobiliser encore plus fortement
http://www.latribune.fr/actualites/politique/20090507trib000374412/la-bataille-de-strasbourg-a-commence.html
Au moment où le maire de Strasbourg annonce la suppression de la soirée asperge destinée au Parlementaires Européens, le gouvernement laisse entendre que le parlement européen pourrait être supprimé à Strasbourg.
Il n’y a certes aucun rapport entre deux événements. Mais le hasard est bizarre si jamais le hasard existe.
Chaque année à Hoerdt la ville de Strasbourg et le conseil général du Bas-Rhin, organisaient une soirée conviviale et toujours chaleureuse en l’honneur des parlementaires européens. Le président, le secrétaire général et de nombreuses personnalités s’y rencontraient même si les assistants et les collaborateurs y participaient aussi. D’ailleurs ne mésestimons pas leur influence…
Sa suppression pour raison d’économie aurait, à mon avis, pu être différée car quel beau prétexte offert aux lobbies anti Strasbourg pour faire valoir leurs arguments en faveur des économies. Et à quelle échelle! 70.000 euros économisés pour la ville et le CG et un petit coup porté à la restauration à Hoerdt
200 millions, cout du double siège, et 800.000 euros le transport des cantines de dossiers. Leur économie serait un gros coup asséné à Strasbourg.
Certes aucun rapport ne peut être établi entre ces deux faits. Mais on est en plein dans le symbole.
Qu’en est-il au juste ? Un grand quotidien réputé pour le sérieux de ses informations consacre sa page de couverture et ses trois premières pages à l’éventualité du départ du PE de Strasbourg.
Depuis des années c’est la même antienne, c’est le même combat de lobbies de plus en plus puissants contre Strasbourg et c’est en permanence la même mobilisation des pro Strasbourg pour défendre la ville symbole par excellence de la réconciliation et de la construction européenne.
Le fait nouveau serait que, pour la première fois, le gouvernement de la France serait prêt à négocier, à troquer le PE contre « autre chose ». C’est une information de tout premier plan dont on attend le démenti !
Strasbourg est la seule ville qui symbolise pleinement l’Europe et pas n’importe quelle Europe, celle des citoyens, celle des valeurs, celle du sens. Bruxelles, on le sait c’est l’Europe de la réglementation, de la technostructure, des hauts fonctionnaires de la commission.
La seule solution a mettre en œuvre rapidement c’est le transfert intégral du Parlement et de tout son fonctionnement, à Strasbourg. La Commission à Bruxelles, le Parlement à Strasbourg !
On évoque aujourd’hui l’installation à Strasbourg, en substitution du PE de « l’Europe de la défense »
Elle est en gestation et n’a pas encore pris forme. Tout est donc vague et par conséquent inacceptable." Une très grande université européenne" suggérait le regretté Geremek…Tout aussi vague et imprécis.
Certes la fin des asperges n’est pas encore celle de haricots. Mais l’annonce si fortement affirmée d’une éventuelle négociation autour du PE est un nouveau coup sévère contre Strasbourg.
J’en appelle à une solidarisation massive avec des actions spectaculaires de l’Alsace entière unie à leurs amis et voisins allemands pour manifester sur le thème : « Le parlement de Strasbourg n’est pas négociable »
J’en appelle au maire pour qu’il prenne l’initiative de cette manifestation dont l’Europe entière doit entendre parler jusque dans les chaumières Flamandes et Wallonnes.
Comme le dit ce journal : « la bataille de Strasbourg a commencé », à nous de la mener pour la gagner http://www.latribune.fr/actualites/politique/20090507trib000374412/la-bataille-de-strasbourg-a-commence.html
Commentaires
Ce dimanche, venez à Bruxelles et vous comprendrez :
http://www.epp-ed.eu/home/fr/defaul...
Jeff j'ai lu, j'ai vue...ESt ce encore un hasard si aucun Strasbourgeois ne figure sur la liste UMP? Catherine sera-t-elle la seule à défendre Strasbourg?
Et pendant ce temps les JUMP distribuent des capotes dans les boites de nuit, nouveau lieux d'expressions pour l'Europe de demain, l'Europe de la b....peut-être aussi du h....., de la M...J....et du Viagra. Vive l'engagement politique, vive la défense de Strasbourg
Georges, vous êtes inutilement méchant avec les JUMP Ils utilisent des moyens de communication moderne et de plus, j ecrois que c'est une initiative nationale. Notre tête de liste Joseph Daul a largement parlé de l'Europe qui protège, hier à la fête de l'Europe.
Et l'Europe protège aussi notre vin rosé?
Et si on coupait un veau avec un poulet pour en faire plusieurs lapins et si on injectait du porc aux poulets pour les rendre plus fermes
STRASBOURG / BRUXELLES .
Derrière le rideau... en catimini ... se négocierait des petits arrangements . A suivre ...
Les anti- Strasbourg . Qui sont-ils ?
Des technocrates ---- définition : spécialistes qui exercent un pouvoir politique ou administratif et donnent la priorité
aux aspects techniques des problèmes en négligeant certaines réalités ---- préoccupés par un ridicile confort personnel , habitués du tintamarre médiatique .
Leurs arguments .
petits , mathématiques , comptables .
Leur outil .
La " La pétition " plus d'un million de signataires .
IM-PRE-SSIO-NNANT ! On va se cacher sous la table .
Suggestion , parmi tant d'autres .
Arborons le badge !
L'idée , une " cocarde " pro-Strasbourg " aux couleurs de l'Europe avec un slogan clair et sans équivoque .
La réalisation de cette insigne pourrait être confiée
à une école d'Arts plastiques , Européenne , évidemment .
MON EUROPE .
Non pas l'Europe à la Française , si non ,
on s'en sortira pas .
La "difficulté " et nous sommes tous d'accord sur ce point ,
c'est de vouloir mettre sur le même pied d'égalité plus de 450 millions de bipèdes , soit 27 Etats membres - d'autres attendent leur tour - .
Qui (?) a dit impossible .
L'IRIS - l'institut de relations internationales et stratégiques(des gens sérieux ) - apporte d'ailleurs un éclairage très intérressant sur la démographie en Europe et une projection pour les années 2050 .
Mon Europe donc , celle de demain .
L'Europe des Etats , l'Europe des affaires étrangères , l'Europe des armées , l'Europe des savoirs , l'Europe des cultures , l'Europe des salariés et du travail , l'Europe des services publics , l'Europe des énergies , etc , etc , etc .
Vous avez rajouté l'Europe des Peuples , pardon , pour moi çela ne veut dire rien dire , que l'on m'explique .
Mon Europe existe , oui et non .
Oui si l'on parle d'Europe des Etats , non si l'on parle
du respect des différences de culture au sens très large du terme , afférentes aux Etats membres de l'UE .
Prenons l'exemple British , ils y viendront à l'Europe , ils l'adopteront l'euro , à la condition que cette Europe ne leur impose pas de manger des cuisses de grenouilles .
Et nous irréductibles ptits Gaulois , cessons de croire que l'Europe est un vilain mot ; certes , tout n'est pas parfait , et ne le sera jamais .
Trop de bureaucratie , trop de technocratie , évidemment qu'il faut amorcer un virage à 360° , et aller de l'avant !
C'est un fait , on ne fait pas une corde à grimper avec des bouts de ficelle .
Cordialement .(f)
C'est vrai que si l'Europe signifie beaucoup pour le citoyen lambda (ex. : faire ses courses à Kehl en pouvant comparer les prix, voyager, etc ...) il faut dire que les institutions européennes restent, elles, obscures. A quoi sert donc concrètement un Député Européen ? Que fait-il de ses journées ? Les exemples de Trautmann et Dati en disent long sur le sérieux avec lequel nos politiques nationaux considèrent la question européenne. Trautmann il fallait la remercier d'avoir laissé Ries prendre la pole position et Dati il fallait l'écarter après un labeur brillament conduit mais avec un peu trop de clinquant tout en lui laissant de quoi financer ses besoins. En bref, Député Européen ça ressemble à un boulot super bien payé avec pas trop de contraintes. C'est une sorte de voie de garage pour ceux qu'il faut placer et qu'on ne veut plus voir au niveau national. En tout état de cause c'est ce que l'analyse des listes me donne à comprendre (et je ne parle pas de l'ami Francis qui déménage plus vite que son ombre et qui se retrouve aujourd'hui marseillais).
Pourtant des Européens de France sérieux et passionnés il y'en avait (pour n'en citer qu'un : Bourlanges).
Mais aujourd'hui on a un peu -beaucoup- le sentiment qu'on se moque de nous.
Alors le parlement à Strasbourg, pour moi, ce n'est qu'un problème "secondaire" -mais qu'il faudra trancher en faveur de Strasbourg-; le premier problème étant la tartufferie des listes présentées aux élections européennes.
de gaulle disait "il faut épouser son siècle". croyez-vous mon cher georges qu'il faille encore appeler le peuple comme pendant la révolution française ? oyez, oyez . vous utilisez internet, vous lisez vos mails, vous avez un téléphone portable ? vous épousez votre siècle !
les jeunes pop font du bon boulot !
salutations.
Vous me faites la leçon monsieur le connétable et que me répondez vous sur le rouge coupé au blanc qui doit faire du rosé. c'est du Bayrou n'est ce pas? Mais très peu pour moi
- Le gaspillage est assumé depuis des années et aucun des maires se succédant à la tête de Strasbourg n'a osé donner les chiffres exacts. Combien est-ce que cela coûte au contribuable d'avoir ce gros machin bidule européen ? On va encore hurler à la démagogie mais après tout, avant de réagir dans cette "bataille", il faudrait tout connaître.
- Je suis toujours surpris par une chose. On se gargarise d'Europe chez les politiques à Strasbourg mais dans les faits, Strasbourg n'a hélas rien de bien européen, moins en tout cas que Luxembourg par exemple. Les populations ne se sont jamais mêlées, et de toute façon, à part les commerçants locaux, les strasbourgeois ne se passionnent pas pour tout cela. A Luxembourg, dès que vous sortez dans un bar, un restaurant, vous parlez toutes les langues de l'Europe, vous rencontrez des gens de tous les horizons. A Strasbourg, à part aux sessions, aucun échange ou peu.
- Pourquoi ne pas au moins étudier une contre-partie après tout ? Il fut un temps où certains parlaient d'un centre scientifique de haut vol type MIT. QU'en est-il ?
- Et je reprends l'argument pertinent donné ci-dessous, où est le représentant strasbourgeois de l'UMP sur la liste de M. Daul ? Une fois de plus c'est Mme Trautmann qui va être la seule à nous défendre, super...
M. Husser, votre analyse n'est pas dénuée d'intérêt. Toutefois, Strasbourg me semble tout de même avoir une image européenne. Nos bars ne sont pas ceux de Luxembourg ou de Bruxelles mais on y rencontre beaucoup d'européens. Certes ceux-ci sont souvent étudiants mais n'étant plus étudiant je sais que le passage à l'âge "actif" tend à nous éloigner des bars (sauf certains élus qui semblent disposer de beaucoup de temps libre et qui ne maîtrisent pas toujours leur consommation) ! Strasbourg a une dimension internationale qu'on ne peut nier. Strasbourg est européenne comme Bruxelles ou Luxembourg ...même si elle n'est dirigée ni par un roi ni par un prince.
Strasbourg oubliée, Strasbourg affaiblie ?
La campagne des élections européennes se poursuit. Parlera-t-on d’Europe ? On le verra dans le mois qui nous sépare du scrutin. Au-delà des programmes, la campagne en France et ailleurs, justifie-t-elle que l’on s’inquiète pour le sort de Strasbourg ?
Au regard des forces en présence dans les autres pays d’Europe, on mesure que la bataille du siège du Parlement Européen entre Bruxelles et Strasbourg pourrait effectivement reprendre de plus belle au lendemain du scrutin.
La campagne française est effectivement observée de près par les anti-Strasbourg. Certains ont déjà noté que les « Français » aiment tellement Strasbourg que sa place dans la campagne française, certes régionalisée, est particulièrement faible.
Le Modem se réunit ainsi à Metz et si Martine Aubry a choisi Strasbourg pour tenir au moins un meeting, qu’en sera-t-il des autres formations ?
Le temps des grandes messes est passée mais tout cela sera utilisé par celles et ceux qui veulent rapatrier les institutions à Bruxelles.
Pendant ce temps, certains réfléchissent également aux compensations potentielles qui pourraient faire avaler la pilule aux Alsaciens et aux Français. Voilà pourquoi on entend certaines voix proposer que la ville devienne capitale de l’Europe de la Défense.
Symbole de la réconciliation franco-allemande confortée par la tenue du sommet de l’OTAN, siège de l’Eurocorps et sur le point d’accueillir un bataillon franco-allemand à Illkirch-Graffenstaden, la capitale alsacienne aurait le profil idéal. Encore faudrait-il que cette Europe de la Défense voit le jour ! Ce qui est, avouons-le, un autre débat
On rappellera donc en guise de conclusion et par avance, que les promesses n’engagent que ceux à qui elles sont faites. Homme averti en vaut deux. L’engagement pour Strasbourg est donc plus que capital.
STB
cher monsieur pierrard, la consommation de vin doit être modérée. quelqu'il soit. s'agissant de la distribution de préservatifs, je trouve cela très dans l'ère du temps.
les jeunes pop sont comme les jeunes de l'ujp en son temps : des jeunes qui adoptent le comportement le mieux adapté afin de s'exprimer efficacement. des jeunes anarchistes ont "foutu le brin" à strasbourg, et de mon nord natal, cela m'a profondément déçu pour tous les strasbourgeois qui croient encore à la politique, la vraie. celle de l'ump, qui subit toutes les foudres, de l'opposition, de certains journaux, etc.
alors oui les jeunes pop distribuent des "capotes" et alors ? je serais bien content de les trouver à l'entrée des discothèques de ma région quand mes gamins iront en "boîte" ! et de discuter avec de l'engagement politique.
car il est facile de critiquer quand on n'est pas engagé publiquement !
bien à vous.
Information pour les jeunes générations.
Pourquoi les institutions communautaires sont à Bruxelles et le Parlement européen à Strasbourg et à Bruxelles comme on sait et pourquoi donc le contentieux que l'on connaît au sujet du Parlement.
Georges Berthoin, est un haut fonctionnaire et diplomate français. Il occupa le poste de Directeur du cabinet de l'IGAME (Inspection générale de l'administration en mission extraordinaire) Alsace-Lorraine-Champagne de 1950 à 1952. Il quitta cette fonction pour devenir le chef de cabinet du président Jean Monnet à la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) (1952-1955). Chef-adjoint de la délégation de la CECA et chargé d'affaires au Royaume-Uni (1956-1958), il devint ensuite Haut-Représentant adjoint de la Commission de la Communauté économique européenne au Royaume-Uni (1959-1970), puis Haut-Représentant de la Commission de la Communauté économique européenne auprès du Royaume-Uni (1970-1973) raconte :
« Les institutions communautaires auraient dû occuper le site de Sophia-Antipolis dans les Alpes-Maritimes ». Mais le projet, déjà ficelé, a avorté, « les Allemands trouvant que cela ne faisait pas sérieux, trop « club Med » Alors, on a ensuite pensé à Paris. Cette fois, les Allemands étaient d'accord : Paris, ça faisait sérieux. Et puis ils devaient bien ça à la France. Le gouvernement français propose l'actuel site de la Défense ou Chantilly, à 30 km au nord de Paris. Là aussi, le projet était fin prêt. Mais il a échoué à cause de l’opposition d’un certain Pierre Pflimlin, ministre des finances puis président du Conseil (juste avant que De Gaulle ne revienne au pouvoir), qui a vu dans cette localisation centralisatrice une menace pour l’aura de « sa » ville, Strasbourg, symbole de la réconciliation franco-allemande choisie pour devenir le siège de « l’Assemblée parlementaire » de la CEE de l’époque. les Belges ont alors offert, pour éviter tout retard dans l’installation des nouvelles institutions, Bruxelles, comme capitale provisoire de la CEE. « Il ne nous a fallu que quelques semaines pour créer des institutions, certes à l’état embryonnaire, mais qui sont encore là », se souvient Berthoin. Jusqu’en 1993, date de fixation définitive du siège de l’Union à Bruxelles, il était bien précisé sur le papier à en-tête de la Commission que le « 200 rue de la Loi », adresse du Berlaymont, était une « adresse provisoire ».
Un magnifique suicide politique, bien dans la tradition franco-française, non ? Si les institutions communautaires avaient été en région parisienne, il est clair, en tous les cas, que la place du français ne serait pas menacée comme elle l’est aujourd’hui. On peut, au passage, faire la même remarque pour l’OTAN : « avant que de Gaulle ne décide en 1966 de sortir partiellement de la structure militaire intégrée, le siège de l’OTAN était à Paris ». « C’est d’ailleurs grâce à ça que toute une génération de diplomates, alors enfants, a appris le français. En envoyant l’OTAN à Bruxelles, on s’est encore une fois tiré une balle dans le pied ». Surtout pour y revenir quarante ans plus tard, mais sans le siège et sans les postes de commandement.
Source : Université d'automne du Mouvement européen-France - 16 novembre 2008.
http://presence-sud-europe.over-blo...
Pourquoi cette nouvelle charge ?
À l'heure de la clé USB et de la dématérialisation des documents, à l'heure ou bientôt la Commission sera à 3 heures du Parlement Européen, ou Strasbourg sera au croisement de deux magistrales ferroviaires, nous mettant aux portes de 50% des Européens. Au moment ou le Parlement réussi à être un véritable espace de la démocratie Européenne, retoquant purement et simplement un projet de la commission (Du jamais vu) et bien, pour maîtriser ce qui est en train de devenir un indomptable outil au service des 500 millions d'Européens, certains veulent le rapprocher des 20 000 lobbyistes bruxellois !
Que peuvent bien y gagner Mr Sarkozy et le gouvernement français ? Un nouveau commissariat à la commission ? Plus de pouvoir au sein d'un groupe multinational ? Un nouveau commandement au sein de l'OTAN ? Un premier président Européen fantoche et si possible français (Mais ça fait toujours bien sur les photos et dans les livres d'Histoire) ?
Que l'on ne s'y trompe pas comme Mr Cohn Bendit, nous jouons ici le futur de notre démocratie Européenne, au profit non pas uniquement de Bruxelles, cette ville entourée d'un pays perclus de querelles belliqueuses et xénophobes, mais surtout de quelques hommes politiques avides d'images facilement médiatisables. De tous ceux qui préfèrent les fastes des cours et les effets d'annonces, au travail besogneux et pertinent des Euro-députés strasbourgeois. Définitivement bien moins "glamour" !
Créateur, en 1989 de l'association à caractère civique Blanc c'est exprimé je me fais un plaisir de vous rendre destinataire des informations annexées en pièces jointes.
Pour les prochaines européennes comme pour tous les autres scrutins, les partis se moquent du nombre des abstentions ! Ils ont intégré cela depuis longtemps dans leurs stratégies.
La preuve est que pour leur financement la loi de 1995, qu'ils ont eux-mêmes votée, leur a permis de "faire une OPA » et main basse sur la vie politique et la démocratie en France, et de décider que les "mannes publiques" c'est à dire nos impôts serviraient.
En effet ce financement s’établit sur le nombre des inscrits et non sur le nombre des votants !
Pour information, je viens de procéder à une étude sur le sujet. Il apparaît que malgré l'abstention grandissante de 4%, au premier tour des législatives entre 2002 et 2007, les deux partis majoritaires qui sont pourtant les responsables de la crise actuelle (en dehors de celle directement financière) se partagent plus de 75% du pactole soit une augmentation pour eux de plus 3% ... En fait un problème d’enrichissement sans cause !
Aussi,
- devant le refus qui est opposé à sa demande, depuis 1989, par les politiques en général et en particulier par le président de la République, de voir le vote blanc reconnu comme étant un suffrage exprimé, l’association Blanc c’est exprimé - qui a fait la démonstration que cela serait pourtant favorable à un retour des électeurs vers les urnes,
- en considérant tous les éléments qui justifie le pronostic d’une nouvelle augmentation du nombre des abstentions, l’association BLANC C’EST EXPRIME
APPELLE une nouvelle fois les électeurs à
NE PAS S’ ABSTENIR !
ELLE LES APPELLE A VOTER !
MAIS CETTE FOIS… A VOTER BLANC !
ELLE LES APPELLE A PARTICIPER A
« LA REVOLTE BLANCHE ! »
Voir les « raisons de la colère »
et de très nombreuses informations
sur le Site www.blanccestexprime.asso.fr Rubrique : Européennes 2009
Cordialement.
Gérard GAUTIER
Saint-Brieuc le 31 mai 2009
LE VOTE BLANC .
Excellent programme . Voilà une pensée encore bien réfléchie .
Avec ça , c'est sur , on ira vraiment très loin .
Ils sont oû les militants ? Vous êtes nombreux ? Il reste de la place ?
On y met quoi dans le vote blanc ?
Du " y a qu'à " à toutes les sauces .
" y a qu'à faire comme ça , y a qu'à faire comme ceci "
et puis tout ira bien .
Elles sont oû ( ? ) les / vos propositions Européennes .
Peut - être qu'on va encore nous renvoyer vers l'internet ...
Mais je suis hors sujet ! Votez blanc qu'on t'a dit !
Cordialement . (f)
Je suggère à Fabrice de prendre contact sur le site avec la démarche citoyenne de l'association Blanc C'est exrpimé pour la reconnaissance du vote blanc.
Il pourra aionsi s'informer sur le nombre de propositions concrètes présentées depuis 1989. Je ne sais pas quant à moi critiquer si je ne fais pas de propositions.
Cela lui évitera de jeter le bébé avec l'eau du bain !
Je lui rappelle à toutes fins utiles que le vote blanc a été supprimé en 1852 par Napoléon III qui en prenant cette décision souhaitait "ne plus avoir de problème avec son opposition".
Par ailleurs je préfère avoir lors du prochain scrutin, le nombre de 6O à 63 % d'abtentions ramené à 25 à 30%
et avoir 25 à 30% de votes blancs !
Ma devise inscrite sur mon site est :
"Je préfère être un résistant en temps de paix que de venir un ancien combattant !"
Cordialement.
Bonjour, je suis consultant en gestion de stress professionnel et de la vie privé je souhaiterais intervenir auprès du personnel et autre de la CEE de Strasbourg , merci de votre aise, j'ai 26 ans d’expériences, je suis Moine Bouddhiste Zen
cordialement