Sarkozy, le courage et la maîtrise
Par Robert Grossmann le lundi, 16 avril 2007, 17:23 - politique - Lien permanent
La campagne vire. On parle de moins en moins didées. On nest plus, à légard de
Par delà les mises en cause, les propos insultants et les mensonges de cette campagne électorale, qui ont, ces derniers jours, pour seul objectif de mettre à mal la personnalité de
Tous ses adversaires, complaisamment repris par une certaine presse, singénient à lui trouver des défauts irrémédiables et le magazine que je lis pourtant avec intérêt, Marianne, prétend faire les révélations que personne nose faire.
On sattendait à des monstruosités, certains nhésitaient pas à annoncer que l'hebdo allait rendre public que Sarkozy était le grand maître dune société secrète ou dune secte. D'autres horreurs allaient faire le bonheur des malveillants...
Et voici qu'on ne réussit à parler que de son caractère en projetant le diable au mur (vieille expression de la sagesse alsacienne « de deyfel an dwand mohle ! »), alors quau total
Malgré les ragots indignes que propagent ses concurrents, cet homme ardent est pourtant et avant tout un homme courageux mobilisé de manière quasi exclusive par un authentique altruisme. C'est avec les autres, à leur contact, à leur service qu'il construit son itinéraire.
Il lui en aura fallu du courage et une étonnante maitrise de ses nerfs, lorsque le 13
Il est ressorti avec un enfant dans ses bras et le preneur dotages, Erick Schmitt, à peu à peu libéré les autres enfants, à lexception de six dentre eux.
On sait ensuite comment l'affaire s'est dénouée.
Comment qualifier le comportement de cet élu qui aurait pu se contenter de rester dans un bureau près de son téléphone ?
Courage, maîtrise de soi, service d'autrui, abnégation.
Dites-moi le contraire !
Commentaires
Grégoire, le spécialiste des vidéos et sons illustrant les article est de retour :
www.youtube.com/watch?v=r...
Rappelons qu'on a retrouvé chez l'homme une lettre donc il savait très bien qu'il ne s'en sortirait pas vivant. Il aurait très bien pu se faire sauter à ce moment, bravo Nicolas Sarkozy !
Il parait que d'autres candidats ont du courage :
- Marie-Ségolène Royal a dit que la justice chinoise est plus rapide que la française ! Bravo ;-)
- François Bayflou continue à se présenter à l'élection présidentielle alors qu'"il n'a ni projet, ni équipe" (ce n'est pas moi qui le dit, c'est Marie-Ségolène Royal) Bravo ;-)
DOCTEUR ROYAL ou MISS SEGO??
Ce n'est plus l'Ordre Juste ni même la bravitude,
la douce Ségoléne devient perfide Gertrude:
on pensait Mendés-France ce n'est que Mitterand,
ambigüe et confuse comme le vieux tyran..
La Ségo a deux faces,vrai Janus politique,
matrone autoritaire et madone médiatique,
Docteur Royal parfois, mais souvent Miss Ségo,
à tirer sur Sarko, c'était du vil niveau,
c'était à ses sous-fiffres d'fouiller l'caniveau;
mais comme l'Beaujolais, voilà l'Ségo nouveau!!!!!!!
Elle passe ses meetings à faire huer Sarko,
le traitant de menteur et d'ignoble Facho,
prédisant des émeutes s'il prenait le pouvoir,
et que donc le détruire c'est son premier devoir.......
Quant à l'ordre juste pour la Dame du Poitou,
demander son avis à Evelyne Pothout (1)
son ex-secrétaire dans un emploi fictif,
qui a porté plainte pour trucage abusif,
pour travail clandestin et salaire non versé,
Appel puis Cassation, les Prudhommes muets;
Charlie Hebdomême parla de SMIC à zéro!!
Depuis Ségol'a mis à quinzecents euros???
Mais elle reste abonnée au Festival des Bourdes,,
comme Lang le rallié, l'est à celui de Bourges:
pour sauver les otages des mains des Talibans,
elle clame à l'ONU de punir les forbans,
et mettre leur Régime à l'index des Nations!!!
Or ya déjà cinq ans qu'ils sont plus en fonction????????
Bref plut^t Bayrou que cette virago,
car avec Hollande cet autre démago,
ils feront de la France un pauvre Pays-BAS,
C'est l'moment ou jamais d'sonner le branle-bas.................
(1)livre "Ségoléne Royal :ombre et lumiére" de Evelyne Pothouot dition Michalon février 2007
C'est ça, Monsieur Grossmann, la démocratie. C'est une notion en effet bien étrangère pour vous.
Nous avons tous le droit de savoir qui est réellement, humainement M. Sarkozy.
Prendre des décisions qui vont à l'encontre de cette liberté de parole, celà s'appelle de la CENSURE. Tout simplement.
Il ne suffit pas de crier haut et fort que l'on est démocrate. Encore faut-il appliquer concrètement, et surtout à soi-même, les idéaux humanistes que l'on prend tant de plaisir à utiliser dans ces discours.
Je vous demande, solennellement, de publiez mon commentaire.
Bonjour,
Monsieur Grossmann, vous exprimez exactement ce que j'ai ressenti le 13 (?) mai 1993 (?)... "ce type ira loin..." !
Voyez l'évaluation de son programme économique par COE-Rexecode que j'ai inséré plus haut.
Bonne soirée.
Tou à fait.
Il est fort regrettable que nous ne puissions l'avoir pour président...
@ Arno
La démocratie n'est pas les insultes, c'est le respect de l'autre, ce que vous semblez totalement ignorer.
Il est bon parfois de rappeler des vérités quand le caquetage méprisable des habitués de la désinformation envahit tout lespace. Pour ma part, je me suis forcé à lire le Begag qui selon certain publiciste à la retraite devait dévoiler la face sombre de Nicolas Sarkozy.
Eh bien, que nenni ! rien qui ne fusse déjà connu dans le pitoyable récit du pathétique ex-ministre qui exhibe sa triste vie entre chaussures à 300 euros piétinées et jogging en quai de Saône, un vrai assommoir littéraire.
Le livre d'Azouz Begag n'est en effet pas de la grande littérature. Je pense que c'est avant tout un gros coup de pub.
Par pitié, ne parlez pas de désinformation, on se croirait sous le régime stalinien ou vichyste.
Comme toujours, les donneurs de leçon ont la mémoire bien courte...
Quel partie politique a envahi tout l'espace médiatique de milieu de campagne pour traiter S. Royal d'incompétente, de femme politique incapable de diriger le pays ?
La moindre des choses serait de reconnaître le caractère tyrannique de N. Sarkozy, son mépris pour les autres. Les faits sont là pour le prouver : article rapporté par la Société des Journalistes sur ces menaces à la rédaction de France 3, propos de M. Goulard et M. Begag, anciens ministres, etc...
Des faits, encore des faits. Bien loin de vos suspicions machistes sur la supposée incompétence de S. Royal.
Un ami sondeur m'inquiete ce matin
Sarkozy ( 23 à 28)
Royal ( 22 à 24)
Bayrou ( 15 à 23)
Le Pen ( 16 à 25)
Il m'évoque des hypotheses
- Le Pen en tete au 1er tour
- un second tour Le Pen Sarko
- un autre Le Pen Bayrou
- un autre enfin Royal-Bayrou
Il faut rendre a Robert ce qui est a Grossmann:
Hier, a Issy les Moulineaux, Nicolas a fait un lapsus, quand il a rendu hommage a Charles Pasqua qui l'aurait "repere le premier".
Le vrai decouvreur de talents, le premier a faire troquer a Nicolas les crocus pour les tracts, c'etait Robert Grossmann.
Nicolas Sarkozy plait à toutes les générations ! Ce qu'il y a de réellement bon et beau chez lui : sa franchise, son honnêteté intellectuelle, il fait ce qu'il dit et il dit ce qu'il fait..( il ne sera jamais un combinard, il n'aura jamais un double langage, il marche droit dans la vie ! La façon dont les jaloux ont essayé de le salir démontre qu'ils connaissent sa vraie valeur, un mou, un tiède n'attirait pas autant de réactions. Il a toutes les qualités pour devenir celui qui sera à la tête de notre pays.
petite réflexion sortie du Testament de Confucius que je viens de lire et que j'ai envie d'appliquer à l'image de Nicolas Sarkozy :
"si l'on gouverne l'Etat avec la vertu, on est considéré comme l'étoile polaire, solidement en place et entouré des autres astres".
et voilà la campagne electorale terminée. Aujourd'hui dimanche, c'est nous les faiseurs de rois et non la presse ou je ne sais quelque autre bonimenteur. Aujourd'hui c'est nous qui avons le dernier mot.C'est formidable. Non ! Les sources d'informations ont été tellement nombreuses, que chacun a pu se faire une idée précise des qualités réelles ou supposées de tous les candidats. Alors nous n'avons que faire des prétendus soutiens remarqués par la presse locale ou nationale voire les chaines de télé en faveur de l'un ou de l'autre des candidats. Merci à Robert Grossmann de nous avoir permis de nous exprimer librement sur son blog durant toute cette campagne et de nous affronter démocratiquement. Alors aux urnes citoyens! Pour ma part j'ai choisi, je vôte Sarkosy.