De quoi être inquiet! Joël de Rosnay dans son dernier livre « La révolution du pronetariat » expose, page 18  :

« (…) selon l’étude « The state of News media 2004 »  seulement 49 % des américains jugent les médias traditionnels « hautement professionnels » contre 72 en 1985. Par ailleurs le nombre de personnes qui estiment que les journalistes tentent de couvrir leurs erreurs passe de 13 à 67 % ! Dans la même période seulement 59 % des personnes interrogées font confiance aux informations publiées dans les journaux, contre 80% vingt ans plus tôt… »

Mais pourquoi donc les journaux, là bas, en arrivent-ils à cette situation, eux qui sont naturellement les bons informateurs de leurs lecteurs ?

Il y a bien sûr des  facteurs exogènes, mais il y a peut-être aussi des facteurs endogènes.

Bon! ça se passe aux Etats-Unis...Nous sommes en France. Militons tous ensemble pour la lecture, y compris de la presse quotidienne.