Blog-Notes Robert Grossmann - l'actualité2024-03-29T06:59:05+00:00urn:md5:1b86e058bd584078453186a38cc0a6eaDotclearLettre ouverte et agacée au directeur des sports de TF1 avant France Allemagneurn:md5:44ad6f95041ca6427170e214a5a8f2342014-07-03T08:41:00+01:00Robert Grossmannl'actualité <p>
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</p>
<p class="MsoNormal" align="center" style="text-align:center"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal">Cher Monsieur,</strong></p>
<p class="MsoNormal"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal">Demain soir vous
allez nous administrer un nouveau malaise, des agacements et de l’inutile
nervosité en nous infligeant les jacasseries de<span style="mso-spacerun:
yes"> </span>par le truchement du duo </strong><span style="mso-bidi-font-size:
14.0pt;mso-bidi-font-family:Helvetica;color:#2A303E">Jeanpierre-Bixente
Lizarazu. J'exclue Arsène, toujours sobre et tecnique.</span></p>
<p class="MsoNormal"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal">Ëtes vous conscient
de la fuite imperceptible de vos téléspectateurs des derniers matchs de la
coupe du monde, en tous les cas, de leur mécontentement ? </strong></p>
<p class="MsoNormal"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal">Par delà vos
statistiques et vos chiffres d’audience, le malaise ! </strong></p>
<p class="MsoNormal"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal">Une détestation
commence à se faire jour et nombreux sont ceux qui éteignent le son pour ne
garder que les images de vos diffusions. Combien vont su Bein, combien vers des
chaines étrangères ?</strong></p>
<p class="MsoNormal"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal">Votre duo agace prodigieusement.
Plutôt que de commenter sobrement les phases de jeu en songeant à ceux qui sont
derrière leur petit écran, ils font leur cinéma à deux balles, rigolades
totalement incompréhensibles, humour stupide de l’entre soi au détriment des
joueurs. S’ils veulent faire de l’humour et jouer les comiques c’est raté,
personne ne rie avec leurs rires privés.</strong></p>
<p class="MsoNormal"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal">Un match est une
dramaturgie et non pas une distraction pour commentateurs de bas niveau.</strong></p>
<p class="MsoNormal"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal">Que dire des éléments
de langage : « cherche une solution » alors qu’à la fin de ce
commentaire stupide le joueur a déjà passé le ballon. Que dire de la prétention
imbécile de cette phrase qui devrait donner le sentiment que son auteur est
dans la tête du joueur, voire son coach. </strong></p>
<p class="MsoNormal"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal">Que dire de
« bonne lecture ». Il lit quoi le porteur du ballon en proie à son
stress ?</strong></p>
<p class="MsoNormal"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal">Pourquoi se commettre
en anecdotes pendant que le ballon file et donc que le téléspectateur n’est pas
renseigné sur les phases de jeu au bénéfice du blabla ?</strong></p>
<p class="MsoNormal"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal">Et ces jeux de
loterie qui viennent polluer le match ? On comprend que cela fait partie
de votre marketing mais là encore ils se déroule au détriment du match lui
même.<span style="mso-spacerun: yes"> </span><br />
Prenez exemple sur les retransmission sur les chaines allemandes où un seul
commentateur explique avec professionnalisme et sobriété les phases du
match.</strong></p>
<p class="MsoNormal"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal">Demain soir je crains
que les mêmes soient à la manœuvre de manière despotique. Je crains que,
inconscient de ce que ressentent vos téléspectateurs, vous ne procédiez à aucun
changement. </strong></p>
<p class="MsoNormal"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal">Je serais donc
contraint de chercher une autre chaine qui, elle, respecte mon envie de suivre
un match non pollué par des incompréhensibles et indécentes rigolades ou par
des commentaires déplacés.</strong></p>
<p class="MsoNormal"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal"><o:p> </o:p></strong></p>
<!--EndFragment-->http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2014/07/03/Lettre-ouverte-et-agac%C3%A9e-au-directeur-des-sports-de-TF1-avant-France-Allemagne#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/798Le foot sur TF1. Virez Christian Jeanpierre et Bixente Lizarazu-urn:md5:2e7544685b421abffaa18ff4193a4e072014-07-01T15:57:00+01:00Robert Grossmannl'actualité <p><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(20, 24, 35); font-family: Helvetica, Arial, 'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19px; ">Le duo Christian Jeanpierre-Bixente Lizarazu-,( j'exclue Arsène Wenger toujours sobre et technique) m'exaspère au dernier degré. <br />-Les rigolades entre eux auxquelles personne ne comprends rien et qui n'ont pas leur place dans la dramaturgie d'un match -humour privé imbécile-<br />-les formules innovantes et pseudo intello: "cherche une solution" alors que le joueur vient à peine de toucher la balle et l'a déja passée à la fin de la phrase<br />-les considération inutiles sur leurs propres histoires alors que le jeu se déroule <br />-tout cela fait que regarder un match sur TF1 et subir ces jacasseries est une épreuve. Pourquoi pas un seul commentateur sobre comme sur les chaines allemandes?</span></p>
<p><span class="Apple-style-span" style="font-size: 14px; line-height: 19px;">L'autre qui a commenté le matche Algérie-Allemagne a bien répété vingt fois pendant le matche "Et la France ne connait toujours pas son adversaire des quart de finales" Stupide au possible. Il faut lui expliquer que c'est à la fin du matche qu'il y a un vainqueur.</span></p>
<p><span class="Apple-style-span" style="font-size: 14px; line-height: 19px;">On n'est pas aidé et j'en connais beaucoup qui mettet les images télé, coupent le son et écoutent les commentaires sur France Info, Europe ou RTL;</span></p>
<p><span class="Apple-style-span" style="font-size: 14px; line-height: 19px;">Dans le cadre de la transparence généralisée peut-on savoir combien ils touchent pour nous agacer de cette manière?</span></p>http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2014/07/01/Le-foot-sur-TF1%2C-virez-Christian-Jeanpierre-et-Bixente-Lizarazu-#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/797Je considère la présence aujourd’hui, à Colombey, de membres du FN héritiers de l’OAS ou de socialistes adeptes de l’auteur du « coup d’état permanent » comme une insulte à la mémoire de de Gaulleurn:md5:02495d5ff886b786a83b770a54a7f10c2013-11-09T10:57:00+00:00Robert Grossmannl'actualité <p>
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<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><strong><br /></strong></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family:Arial">Au fil du temps la prophétie
du Général aura donc été réalisée : <em style="mso-bidi-font-style:
normal">« tout le monde est, a été ou sera gaulliste </em>»
Ajoutons : n’importe qui et pour faire n’importe quoi!</span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family:Arial">Ceux qui s’y réfèrent se
drapent dans sa toge en maniant l’encensoir et susurrent de gracieux de
profundis : le gaullisme cette grande chose du passé ! De Gaulle
cette immense figure recluse dans les livres ou les documentaires !</span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family:Arial">Leur référence est baignée
de compassion. </span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family:Arial">Mais le gaullisme est et
reste un corpus d’idées et de valeurs, une science du pragmatisme qui
transcende le héros qui l‘a inspiré. </span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family:Arial"><o:p> </o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family:Arial">Il ne peut être considéré
comme une collection d’exploits contingentés dans l’histoire qui marqueraient
sa finitude, il est plus que cela, il est une transcendance. </span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family:Arial">Il est l’héritage du
patrimoine philosophique et humaniste porté par la France. Mais il a, dans son
immanence, précédé les constantes de l’histoire dont la permanence sertit notre
condition contemporaine.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family:Arial">De Gaulle, dans son
pragmatisme, affirmait qu’il fallait tenir compte des choses telles qu’elles
étaient - le fameux <em style="mso-bidi-font-style:normal">« les choses
étant ce qu’elles sont »</em> - Ce principe vaut pour toute époque, pour la
nôtre et pour celles qui vont nous succéder.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family:Arial">La question, aujourd’hui,
est : en vertu de quelles valeurs convient-il d’agir compte tenu des
réalités de l’époque. </span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family:Arial">C’est là que tout et
n’importe quoi ont envahi le terme gaullisme. </span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family:Arial">Il convient de s’attacher au
sens de cette philosophie plutôt qu’à son signifiant.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family:Arial">Dès lors le retour aux
sources est une salutaire obligation car la source vive n’est ni un cénotaphe
ni un musée, elle fait apparaître les fondamentaux.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family:Arial">Ils ne peuvent se résumer en
d’opportunistes mots d’ordres circonstanciels comme « courage, générosité,
et fermeté » (JF Copé) Qui, en effet, revendiquerait la lâcheté l’égoïsme
et la mollesse ? </span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="font-family:Arial">Pas d’avantage ne
peuvent-ils se retrouver dans ces apparitions désordonnées et pathétiques de
Droite forte, France droite, Droite moderne, Humanistes, Droite populaire et
autres courants pro domo. D’abord et surtout parce que le gaullisme n’a été ni
la droite ni la gauche mais s’est toujours préoccupé de tous et, de manière
moderne, a rejeté les classification en cellules.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><strong><span style="mso-bidi-font-size:14.0pt;font-family:
Arial;mso-bidi-font-family:Helvetica;color:#262626;mso-fareast-language:FR">La
Résistance, valeur permanente.</span></strong></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:14.0pt;font-family:Arial;
mso-bidi-font-family:Helvetica;color:#262626;mso-fareast-language:FR;
mso-bidi-font-weight:bold">La Résistance est</span><span style="mso-bidi-font-size:
14.0pt;font-family:Arial;mso-bidi-font-family:Arial;mso-fareast-language:FR">
une idée intemporelle, indémodable, actuelle. J’ai des scrupules à citer cet
exemple, mais, reconnaissons le, elle a été curieusement plébiscitée par le
succès du petit ouvrage du socialiste Stéphane Hessel, « indignez
vous ». </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:14.0pt;font-family:Arial;
mso-bidi-font-family:Arial;mso-fareast-language:FR">Quelles que soient les
faiblesses de la position de ce vieil homme, les failles de sa crédibilité
voire une certaine supercherie, il a su remettre au gout du jour cette idée
centrale consistant à se rebeller contre ce qui peut avilir l'Homme. </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:14.0pt;font-family:Arial;
mso-bidi-font-family:Arial;mso-fareast-language:FR"><o:p> </o:p></span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:14.0pt;font-family:Arial;
mso-bidi-font-family:Arial;mso-fareast-language:FR">La résistance procède d’une
force permanente du caractère qui a sa place en tous temps, en tous lieux. </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:14.0pt;font-family:Arial;
mso-bidi-font-family:Arial;mso-fareast-language:FR">La résistance c’est la
célébration agissante de la dignité et la lutte pour la faire vivre. </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:14.0pt;font-family:Arial;
mso-bidi-font-family:Arial;mso-fareast-language:FR">Elle est définitivement
gravée dans l’Histoire par l’appel du 18 juin 1940 qui est aussi un acte
visionnaire dépassant une conjoncture tragique pour viser le redressement
collectif de la nation. « Je ne me démettrai pas ! »</span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:14.0pt;font-family:Arial;
mso-bidi-font-family:Arial;mso-fareast-language:FR">Comme André Malraux le
rappela le « non » du 18 juin, cet appel au refus de l’avilissement,
s’inscrit dans la ligne du mythologique « non » d’Antigone, rebondit
avec la rébellion de Jeanne d’Arc et se trouve magnifié par la victoire sur le
nazisme totalitaire de 1944. </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:14.0pt;font-family:Arial;
mso-bidi-font-family:Arial;mso-fareast-language:FR">Mais c’est aussi un acte
universel qui traverse les continents, c’est Mandela en Afrique du Sud, c’est
Alliende au Chili, c’est, à travers le monde, la lutte pour la liberté et la
dignité des hommes et des peuples. </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:14.0pt;font-family:Arial;
mso-bidi-font-family:Arial;mso-fareast-language:FR">Cet acte fondateur de
l’homme révolté s’exprime en même temps par le respect de la volonté souveraine
du peuple. Charles de Gaulle s’est incliné non sans panache devant la défaite
de son référendum d’avril 1969. </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:14.0pt;font-family:Arial;
mso-bidi-font-family:Arial;mso-fareast-language:FR">Désavoué, il s’en va. </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:14.0pt;font-family:Arial;
mso-bidi-font-family:Arial;mso-fareast-language:FR">Désavoués d’autre
politiciens s’accrochent et restent au pouvoir…</span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:14.0pt;font-family:Arial;
mso-bidi-font-family:Arial;mso-fareast-language:FR">Le respect du gaullisme
commandait qu’après la défaite d’un référendum son inspirateur s’en alla. </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:14.0pt;font-family:Arial;
mso-bidi-font-family:Arial;mso-fareast-language:FR">Le gaullisme exigeait
qu’après une défaite législative cinglante le président de la République ne
cohabita point. </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:14.0pt;font-family:Arial;
mso-bidi-font-family:Arial;mso-fareast-language:FR">Aurait-on imaginé Charles
de Gaulle cohabiter avec François Mitterrand ?</span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:14.0pt;font-family:Arial;
mso-bidi-font-family:Arial;mso-fareast-language:FR">Le refus de ce qui avilit
l’homme, la révolte contre les totalitarismes, mais le respect de la démocratie
et du suffrage jusqu’à leurs conséquences ultimes comptent parmi les valeurs
permanentes du gaullisme. </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:14.0pt;font-family:Arial;
mso-bidi-font-family:Arial;mso-fareast-language:FR">Je considère la présence
aujourd’hui, à Colombey de membres du FN héritiers de l’OAS ou de socialistes
adeptes de l’auteur du « coup d’état permanent » comme une insulte à
la mémoire de de Gaulle</span></p>
<p class="MsoNormal"><o:p> </o:p></p>
<!--EndFragment--></p>http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2013/11/09/Je-consid%C3%A8re-la-pr%C3%A9sence-aujourd%E2%80%99hui%2C-%C3%A0-Colombey%2C-de-membres-du-FN-h%C3%A9ritiers-de-l%E2%80%99OAS-ou-de-socialistes-adeptes-de-l%E2%80%99auteur-du-%C2%AB-coup-d%E2%80%99%C3%A9tat-permanent-%C2%BB-comme-une-insulte-%C3%A0-la-m%C3%A9moire-de-de-Gaulle#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/768Sport de haut niveau à Strasbourg, la débacle. Après le foot avec Racing, le basket avec la SIGurn:md5:d82d037e47731fb4f33df5bdd3137b9b2011-06-27T11:01:00+01:00Robert Grossmannl'actualité<p> <p><!--StartFragment-->
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">En mars 2009, le Tandem Bigot/Ries annonçait
officiellement son intention de privatiser la SIG. « <em>Nous considérons
que ce n'est pas la vocation d'une municipalité d'être décideur au sein d'un
club de haut niveau, souligne l'élu. C'est une entreprise de spectacle et cela
ne fait pas partie de nos</em> spécialités » estimaient-ils alors.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana"> </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">Une commission fut alors mise en place pour
statuer sur la vente des parts de la SIG. Deux projets se sont dégagés ;
celui porté par Carlo Wilm et celui défendu par Alain Saint-Michel.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana"> </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">Sur la base de scoring truqués, manipulés par des
élus, cette commission opta pour le projet Saint-Michel alors que celui de
Carlo Wilm apparaissait clairement comme le meilleur.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana"> </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">En avril 2010, face à la levée de boucliers que
suscita cette décision, le Tandem Bigot/Ries fit machine arrière.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana"> </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">Ils ont alors « <em>repoussé d’une année la
privatisation du club</em> » puis mis en place un nouveau directoire en
plaçant à la tête de la SIG leur homme lige, Martial Bellon. Ce dernier s’est
illustré tout au long de la saison par un interventionnisme aigu dans les
affaires sportives qui a failli couter très cher au club, menacé de descente
jusqu’à la dernière journée de la saison.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">Il devait pourtant préparer le Club à une privatisation
ce qui n’est pas le cas.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">Cette situation trouble a d’ailleurs provoqué le
départ du directoire d’un partenaire important, Michel Nopper.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">Plusieurs partenaires ou anciens responsables se
sont inquiétés de cette absence de clarté sur les intentions de Jacques Bigot
et Roland Ries. L’ancien Président, Jérôme Christ a récemment fait part de sa
position, sans équivoque à ce sujet.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana"> </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">Aujourd’hui, nous découvrons dans l’ordre du jour
du prochain conseil municipal que les 2 municipalités – Strasbourg et Illkirch-
sont totalement revenues sur leurs annonces de mars 2009 et mai 2010 en
renonçant à la privatisation que nous même n’avions d’ailleurs jamais
souhaitée.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">Ils veulent à présent créer une nouvelle société
par actions simplifiées à capital variable intitulée « SIG et Territoire»
en lui attribuant 8 % des parts actuellement publiques. </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:13.0pt;font-family:Arial;
mso-bidi-font-family:Arial;color:#262626"><o:p> </o:p></span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">Nous ignorons qui est à l’origine de cette
société ni quelles sont les qualités de leurs promoteurs, pas plus que les
plus-values qu’elles apporteraient au club. Nous ne savons pas d’avantage quels
seraient leurs projets sportifs.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana"> </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">Ces démarches erratiques ressemblent de plus en
plus aux maux à l’origine des déboires du Racing.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">Interventions politiques, copinage, trucage,
revirement, indécision. </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">Une telle politique, construite au fil de l’eau,
signe un échec sportif retentissant de notre Ville là tant d’autres villes
françaises s’illustrent à la fois pour leur renommée et pour le bonheur de
leurs amoureux du sport. </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana"> </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">En 2007, la SIG avait terminé 4</span><sup><span style="font-family:Verdana;mso-bidi-font-family:Verdana">ème</span></sup><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;mso-bidi-font-family:Verdana">
du championnat, après avoir été championne de France en 2005 puis 3</span><sup><span style="font-family:Verdana;mso-bidi-font-family:Verdana">ème</span></sup><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;mso-bidi-font-family:Verdana">
en 2006 Cette année, pour la seconde saison consécutive, la SIG a échappé de
justesse à la relégation.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana"> </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">Tout cela désespère les amis, les supporters et
les soutiens de la SIG qui préfèrent se désengager plutôt que s’investir sur la
durée.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana"> </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">Dans ce domaine comme dans d’autres Jacques Bigot
et Roland Ries devraient se ressaisir afin de parer aux véritables catastrophes
qu’un semblant de « démocratie participative » ne saurait masquer
longtemps.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">En toute logique ils devraient cesser leur
interventionnisme politique par hommes de paille interposés et mettre en place
la privatisation attendue de la SIG qui permettra, grâce à un cahier des
charges adapté et un appel à candidature sans trucage, à des hommes compétents
en matière de sport décider de la destinée sportive du club. </span></p>
<p class="MsoNormal" style="mso-pagination:none;mso-layout-grid-align:none;
text-autospace:none"><span style="mso-bidi-font-size:15.0pt;font-family:Verdana;
mso-bidi-font-family:Verdana">Il y va de l’intérêt du sport de haut niveau à
Strasbourg et de sa réputation.</span></p>
<!--EndFragment-->
</p>http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2011/06/27/Sport-de-haut-niveau-%C3%A0-Strasbourg%2C-la-d%C3%A9bacle.-Apr%C3%A8s-le-foot-avec-Racing%2C-le-basket-avec-la-SIG#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/603Seul le PS se dit qualifié pour lutter contre les actes racistes. le tandem Bigot-Ries, seul, lave plus blancurn:md5:b6b24a2e1528ed4acb0d93345228f8482010-10-05T14:33:00+01:00Robert Grossmannl'actualité<p> <p><!--StartFragment-->
<p class="MsoNormal"><span lang="FR" style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:
12.0pt">Les actes racistes déclenchent bizarrement une bataille médiatique indigne
dont l’enjeu est d’apparaître le plus populaire et le plus républicain
possible.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR" style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:
12.0pt">Au lieu de répondre à ma demande de réunion du CISPD formulée le 27
septembre, au lieu d’associer son opposition républicaine aux initiatives qu’il
peut prendre, le tandem Bigot - Ries veut confisquer à son profit exclusif le
bénéfice d’une attitude anti raciste, anti xénophobe, anti sémite. </span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR" style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:
12.0pt">Seul le tandem Bigot – Ries lave plus blanc tel est le message qui se
dissimule dans « l’appel » de R.Ries puis dans la demande de M.Bigot
au préfet d’organiser une réunion de travail. C’est tout à fait indigne !</span></p>
<p class="MsoNormal"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal"><span lang="FR" style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:12.0pt">La demande de M.Bigot n’a
été formulée qu’en écho et à la suite de ma propre demande adressée au préfet</span></strong><span lang="FR" style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:12.0pt">. </span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR" style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:
12.0pt">Pour quelle raison le tandem exclue-t-il les partis républicains et
leurs élus du conseil municipal, issus du centre de l’UMP ou des indépendants
de toute initiative ? </span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR" style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:
12.0pt">Pourquoi n’a t il pas cherché à associer à son appel et à sa demande le
président UMP du conseil régional, le président UMP du conseil général ?</span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR" style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:
12.0pt">Pour quelle raison vouloir apparaître les seuls chevaliers
blancs ? </span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR" style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:
12.0pt">Le comportement du tandem Bigot –Ries est aux antipodes d’une attitude
de rassembleurs. </span></p>
<p class="MsoNormal"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal"><span lang="FR" style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:12.0pt">Ce n’est pas le consensus et
la cohésion de tous les républicains qui est recherchée mais la prééminence
médiatique.</span></strong></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR" style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:
12.0pt">C’est finalement en sectaire dogmatique que se comporte ce tandem.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR" style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:
12.0pt"><o:p> </o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR" style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:
12.0pt">Je maintiens mon très vif étonnement devant les réactions du tandem
consistant à lancer des appels, à dispenser des communiqués, à annoncer des
défilés alors que c’est dans la discrétion du travail effectif, en présence de
toutes les forces antifascistes qu’il convient de résoudre ces graves désordres
et retrouver les coupables.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR" style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:
12.0pt">Il est d’ailleurs très étonnant que toutes les forces ne soient pas jetées
dans cette bataille dont l’enjeu est l’éradication des nazillons mais aussi
l’image et la réputation de notre ville.</span></p>
<p class="MsoNormal"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal"><span lang="FR" style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:12.0pt">La bataille médiatique n’est
surement pas de nature à dispenser une image d’un Strasbourg où il fait bon
vivre</span></strong></p>
<!--EndFragment-->
</p>http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2010/10/05/Seul-le-PS-se-dit-qualifi%C3%A9-pour-lutter-contre-les-actes-racistes.-le-tandem-Bigot-Ries%2C-seul%2C-lave-plus-blanc#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/571Faruk Gunaltai, directeur du cinéma l'Odyssée victime à son domicile: deux voitures brûlées dans son jardin, des tags nazis sur sa porte d'entréeurn:md5:374b3d16b7317d9d1a8947099a280fc82010-09-22T06:46:00+01:00Robert Grossmannl'actualité <p><!--StartFragment-->
</p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR">Je suis scandalisé par l’attentat dont a été
victime Faruk Gunaltai à son domicile privé. Cet acte inqualifiable qui aurait
pu avoir des conséquences tragiques et qui est signé par des inscriptions
néonazies est d’autant plus choquant qu’il touche un acteur important de la vie
culturelle alsacienne.</span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR">J’ai beaucoup travaillé avec Faruk Gunaltai
dont je n’ai cessé d’apprécier l’impressionnante érudition en même temps que
l’engagement sans faille en faveur de l’art cinématographique. </span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR">La finesse de ses analyses culturelles est
précieuse pour sa ville, Strasbourg, et son engagement en faveur des droits de
l’homme est particulièrement important dans notre capitale européenne. </span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR">Sa personnalité, ses convictions humanistes,
sont aux antipodes de cet acte de violence dont lui et sa famille ont été
victimes. </span></p>
<p class="MsoNormal"><span lang="FR">Après l’attentat contre le domicile du maire,
ceux contre des édifices ou des tombes juifs ou musulmans, voici un nouvel acte
criminel. Je suis surpris qu’aucune enquête n’ait abouti et je demande que l’on
fasse une priorité de la recherche de ces criminels.</span></p>
<!--EndFragment-->http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2010/09/22/Faruk-Gunaltai%2C-directeur-du-cin%C3%A9ma-l-Odyss%C3%A9e-victime-%C3%A0-son-domicile%3A-deux-voitures-br%C3%BBl%C3%A9es-dans-son-jardin%2C-des-tags-nazis-sur-sa-porte-d-entr%C3%A9e#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/566Bismarck, Unser Land, Europe Ecologie et le Modem à la Yann Wehrlingurn:md5:a41052b47038a18a837886692e1881de2010-03-09T08:55:00+00:00Robert Grossmannl'actualité <p><!--StartFragment-->
</p>
<p>Les campagnes électorales recèlent des surprises.</p>
<p class="MsoNormal">En 2010, en Alsace, nous n’attendions plus tant
d’obscurantisme mâtiné de crispations et de replis identitaires à l’occasion des
élections régionales.</p>
<p class="MsoNormal">Que tous les candidats ou presque n’aient (de prime abord) perçu
de la culture que le bilinguisme franco – allemand et la culture alsaco
alsacienne, pourrait être mis sur le compte de leur volonté d’attraper des voix en
attribuant aux électeurs cette nostalgie qui en réalité est un peu la leur.
Quatre d’entre eux se sont rattrapés depuis…</p>
<p class="MsoNormal">Mais que certains franchissent le Rubicon de l’obscénité
historique est un comble inattendu.</p>
<p class="MsoNormal">Donc Europe Ecologie a accueilli sur sa liste un
thuriféraire de l’Alsace alémanisée dont la seconde langue officielle devrait
être l’allemand. On pourrait créditer cet original de préoccupations
intellectuelles : permettre à tous de maîtriser deux langues. Admettons !
Encore que la majorité écrasante des alsaciens considèrent l’allemand
clairement comme la langue du voisin. C’est bien, faut-il répéter ce truisme, « l’alsacien »
qui <span style="mso-spacerun: yes"> </span>est la langue de l’Alsace avec
le français.</p>
<p class="MsoNormal">Mais que le même génuflecteur devant l’allemand pousse son
fait d’arme de la campagne électorale E.E. jusqu’à faire une conférence de
presse le 14 février avec le député européen corse François Alfonsi au siège de
l’ancien parlement d’Alsace au temps de Reichsland et qu’il se prononce en
faveur d’une Alsace autonome avec son parti<span style="mso-spacerun:
yes"> </span>de prédilection UnserLand est un comble. Et lorsqu’il ajoute
« Bismarck ce n’est pas la honte de l’Europe, moins que Tiers » on
est à la limite du négationnisme comique.</p>
<p class="MsoNormal"><o:p> </o:p></p>
<p class="MsoNormal">Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Conscients à retardement
de leur inconscience les responsables d’E.E ont rompu avec Unser Land et les
autonomistes.</p>
<p class="MsoNormal">Et ne voilà-t-il pas que le sympathique néo modem Yann
Wehrling et sa colistière plus rompues à ces exercices, Odile Ulrich, nouent
alliance avec Unser Land. Et pour donner tous les gages qui conviennent aux
autonomistes ils s’en vont à leur tour s’incliner devant l’ancien Landtag en
déployant avec « quelques » colistiers une banderole « pour un
parlement d’Alsace » mais… à l’ombre de l’ancien siège Bismarckien.</p>
<p class="MsoNormal"><o:p> </o:p></p>
<p class="MsoNormal">Pourquoi ces surenchères identitaires, pourquoi cette lecture
partisane de l’histoire, pourquoi cet obscurantisme. Nous ne sommes plus en
1870 ni en 1913.<span style="mso-spacerun: yes"> </span>Un siècle de feu
et de bouleversements vient de dérouler son tapis de progrès, de <span style="mso-spacerun: yes"> </span>sciences et de technologies en même
temps que ses nouvelles misères.</p>
<p class="MsoNormal">Tout comme l’Europe encore trop balbutiante, la France n’est
pas dans son état le plus brillant mais elle est « forte de ses régions-françaises » !
</p>
<p class="MsoNormal">Les nazis ont produit l’innommable au nom du 3<sup>ième</sup>
Reich allemand et à peine vingt deux ans avant lui s’achevait la plus
terrifiante guerre-boucherie. Soixante dix ans auparavant Wilhelm et Bismarck
s’illustraient à Reichshoffen et à Froeschwiller avant de faire bombarder sans
relâche Strasbourg en anéantissant une grande partie de la ville et en tuant quelque
quatre cent strasbourgeois.</p>
<p class="MsoNormal">Certains alors de leur définitive hégémonie sur l’Alsace,
ennuyés par leurs exactions ils ont construit une magnifique partie de ville
avec l’autorité et la liberté du vainqueur tout puissant.</p>
<p class="MsoNormal">Sait on bien, pourtant, que les maires de Strasbourg et les
autres, sous cette période bénie selon Unser Land, étaient interdits
d’élection, tout comme les Statthalter, nommés par Berlin? </p>
<p class="MsoNormal">Sait on que des milliers d’Alsaciens ont choisi de quitter
leur pays pour fuir le régime prussien ? </p>
<p class="MsoNormal">Veut-on bien se souvenir de « l’affaire de
Saverne » et de la résistance intellectuelle du groupe de Saint Nabor avec
Spindler et ses camarades, du sens profond du musée alsacien, musée résistant ?
</p>
<p class="MsoNormal">A-t-on oublié l’Abbé Wetterlé ? Est-il honteux
aujourd’hui d’évoquer Hansi ? </p>
<p class="MsoNormal">Et comment ne me ferais je pas plaisir en évoquant ma
Mélanie, la comtesse de Pourtalès, qui sillonnait l’Alsace du Nord au sud en
s’exclamant partout « nous allons parler ensemble en alsacien comme ça <em style="mso-bidi-font-style:normal">les autres </em>ne nous comprendront
pas… »</p>
<p class="MsoNormal">Alors, décidément, par quelle étonnante perversion des
esprits sensibles, intelligents, cultivés comme Yann Wehrling peuvent ils s’incliner
devant l’ancien Landtag et infliger au sens de l’histoire ce rétropédalage
?</p>
<p class="MsoNormal">Que l’on veuille un parlement d’Alsace comme Philippe
Richert le souhaite et le formate, certes oui, mais que l’on célèbre à ce
propos la période des casques à pointe quelle dérision. </p>
<p class="MsoNormal">Tout cela ne vaudrait pas la sueur d’une seule ligne s’il ne
s’agissait pas de Europe Ecologie repentie mais capable de telles erreurs et du
Modem qui, il est vrai se trouve à quelques encablures de l’implosion. </p>
<p class="MsoNormal"><o:p> </o:p></p>
<p class="MsoNormal"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal">PS</strong> : je ne
cesserais de dire, conscient que ce papier va réveiller toutes les haines et les
insultes recuites de nos autonomistes, </p>
<p class="MsoNormal" style="margin-left:36.0pt;text-indent:-18.0pt;mso-list:l0 level1 lfo1"><span style="font-family:Symbol;mso-fareast-font-family:Symbol;mso-bidi-font-family:
Symbol"><span style="mso-list:Ignore">·<span style="font:7.0pt "Times New Roman"">
</span></span></span>que je suis un fervent partisan de
l’apprentissage de la langue du voisin, l’allemand, </p>
<p class="MsoNormal" style="margin-left:36.0pt;text-indent:-18.0pt;mso-list:l0 level1 lfo1"><span style="font-family:Symbol;mso-fareast-font-family:Symbol;mso-bidi-font-family:
Symbol"><span style="mso-list:Ignore">·<span style="font:7.0pt "Times New Roman"">
</span></span></span>qu’en gaulliste fervent je suis pour une solide
amitié entre la France et l’Allemagne mais que chacun, en toute amitié, a le
droit de rester lui même et de garder sa personnalité</p>
<p class="MsoNormal" style="margin-left:36.0pt;text-indent:-18.0pt;mso-list:l0 level1 lfo1"><span style="font-family:Symbol;mso-fareast-font-family:Symbol;mso-bidi-font-family:
Symbol"><span style="mso-list:Ignore">·<span style="font:7.0pt "Times New Roman"">
</span></span></span>qu’à titre personnel je suis un fervent de la
littérature, de la musique et des arts plastiques allemands.</p>
<p class="MsoNormal"><o:p> </o:p></p>
<p class="MsoNormal"><o:p> </o:p></p>
<!--EndFragment-->http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2010/03/09/Bismarck%2C-Unser-Land%2C-Europe-Ecologie-et-le-Modem-%C3%A0-la-Yann-Wehrling#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/516Extraits de "à mots découverts" en avant première. Sortie du livre le 26 novembre et débat librairie Kléber à 18h 30urn:md5:047d6c00a61e38ad56054a7df1d2aa9a2009-11-16T08:23:00+00:00Robert Grossmannl'actualité <p><!--StartFragment-->
<p class="MsoNormal" style="margin-bottom:6.0pt;text-align:justify;mso-pagination:
none;mso-layout-grid-align:none;text-autospace:none"><strong style="mso-bidi-font-weight:
normal"><ins><span style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:16.0pt;font-family:
Times;mso-bidi-font-family:Times">Eric Vial: </span></ins></strong><strong style="mso-bidi-font-weight:
normal"><ins><span style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:18.0pt;font-family:
"Times New Roman"">Vous réglez vos comptes ? </span></ins></strong></p>
<p class="MsoNormal" style="margin-bottom:6.0pt;text-align:justify;mso-pagination:
none;mso-layout-grid-align:none;text-autospace:none"><span style="font-size:
14.0pt;mso-bidi-font-size:18.0pt;font-family:"Times New Roman""><strong>R.G</strong>. En aucun cas! Ce
n’est pas mon objectif et ce n’est pas le but de ces entretiens. Vous me posez
des questions et selon notre règle du jeu je réponds sans langue de bois…Voyez
vous, raconter tout cela me pèse, c’est un exercice plutôt douloureux. Je veux
simplement ne pas fuir vos questions. Ai je tort de relater des faits aussi
sensibles ?`</span></p>
<p class="MsoNormal" style="margin-bottom:6.0pt;text-align:justify;mso-pagination:
none;mso-layout-grid-align:none;text-autospace:none"><span class="Apple-style-span" style="font-size: 19px;">(...)</span></p>
<p class="MsoNormal" style="margin-bottom:6.0pt;text-align:justify;mso-pagination:
none;mso-layout-grid-align:none;text-autospace:none"><em><span style="font-size: 14pt; font-family: 'Times New Roman'; "><span class="Apple-style-span" style="font-style: normal; text-decoration: underline;"><strong>Eric Vial:</strong></span></span><span style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:18.0pt;font-family:"Times New Roman";
color:blue"> <span class="Apple-style-span" style="font-style: normal;"><strong>On a l’impression que vous avez tout fait, vous êtes content de
vous ?</strong></span></span></em></p>
<p class="MsoNormal" style="margin-bottom:6.0pt;text-align:justify;mso-pagination:
none;mso-layout-grid-align:none;text-autospace:none"><span style="font-size:
14.0pt;mso-bidi-font-size:18.0pt;font-family:"Times New Roman";mso-bidi-font-style:
italic"><strong>R.G.</strong> Je sens toute l’ironie<span style="mso-spacerun: yes"> </span>de
votre question. Figurez vous que j’ai l’impression que nous avons fait la
moitié de Rome en un seul jour.…Mais il aurait fallu un deuxième jour car il
reste à faire l’autre moitié de Rome</span><span style="font-size:14.0pt;
mso-bidi-font-size:16.0pt;font-family:Times;mso-bidi-font-family:Times"> </span></p>
<p class="MsoNormal" style="margin-bottom:6.0pt;text-align:justify;mso-pagination:
none;mso-layout-grid-align:none;text-autospace:none"><span class="Apple-style-span" style="font-size: 19px;">(...)</span></p>
<p class="MsoNormal" style="margin-bottom:6.0pt;text-align:justify;mso-pagination:
none;mso-layout-grid-align:none;text-autospace:none"><span style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:
16.0pt;font-family:Times;mso-bidi-font-family:Times">A propos de l’éventuel
abandon de certains projets, comme ce parc des expositions, qui avaient été mûrement
réfléchis et faits l’objet d’études minutieuses et complètes, je vais citer
Roland Ries en le paraphrasant </span></p>
<p class="MsoNormal" style="margin-bottom:6.0pt;text-align:justify;mso-pagination:
none;mso-layout-grid-align:none;text-autospace:none"><em style="mso-bidi-font-style:
normal"><span style="font-size:14.0pt;mso-bidi-font-size:16.0pt;font-family:
Times;mso-bidi-font-family:Times">«… craint-il de continuer l’œuvre de ses
prédécesseurs dont le péché originel de n’être pas de gauche est évidemment à
ses yeux rédhibitoire » </span></em><span style="font-size:14.0pt;
mso-bidi-font-size:16.0pt;font-family:Times;mso-bidi-font-family:Times">(extrait
de son livre)</span></p>
<p class="MsoNormal"><o:p> </o:p></p>
<!--EndFragment-->
</p>http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2009/11/16/Extraits-de-%22%C3%A0-mots-d%C3%A9couverts%22-en-avant-premi%C3%A8re.-Sortie-du-livre-le-26-novembre-et-d%C3%A9bat-librairie-Kl%C3%A9ber-%C3%A0-18h-30#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/438Grande réunion débat le 17 juin à Strasbourg, décidée il y a plus de deux mois on ne peut pas dire que nous soyons à côté de l'actualité. Visionnaire, non?urn:md5:feb68484318a78f833a66e0e6aebb46e2009-06-08T08:52:00+01:00Robert Grossmannl'actualité<p><img title="poulet-recto.jpg, juin 2009" style="margin: 0 1em 1em 0; float: left;" alt="" src="http://www.robert-grossmann.com/blognotes/img/poulet-recto.jpg" /></p> <img title="poulet-verso.jpg, juin 2009" style="margin: 0 1em 1em 0; float: left;" alt="" src="http://www.robert-grossmann.com/blognotes/img/poulet-verso.jpg" /><br />http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2009/06/08/Grande-r%C3%A9union-d%C3%A9bat-le-17-juin#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/415Aujourd'hui l'indifférence est coupableurn:md5:fc6a41889c6ec06b407ca007f17bc3d72009-01-13T11:06:01+00:00Robert Grossmannl'actualitépour ceux qui sont sur facebook... rejoignez nombreux le groupe "la paix, vite. Now peace"http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2009/01/13/411-aujourd-hui-l-indifference-est-coupable#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/367 Gunther Grass...urn:md5:394af76d29770e42c27de3d569ec5c972006-08-17T22:32:40+00:00Robert Grossmannl'actualitédéja des commentaires <p><strong>Je transfère ici les premiers commentaires effectués sur le billet précédent.</strong></p>
<p><strong> Nous ne pouvons pas, en effet rester en dehors de cette lourde et grave question</strong></p>
<div class="ligne" id="c2374">
<p>De : Rastignac<br />Le jeudi août 2006 à 19:29<br />Je profite insidieusement de cette supplique adressée par Monsieur Grossmann à Monsieur Barroso pour parler de l'Europe. L'Europe d'hier et d'aujourd'hui. Que pensez-vous de la nouvelle "polémique" soulevée en RFA par Günter Grass, qui dit avoir soulagé sa conscience en "avouant" qu'il avait servi dans les Waffen SS à 17 ans ? Il est certain que cette "affaire" va trouver des échos de ce côté-ci du Rhin. Alfred Wahl, professeur émérite de l'Université Metz, a déjà promis sur les ondes de la télévision locale d'en parler. Pour ma part, je m'en tiendrai à Günter Grass, et je considère que sa mauvaise conscience, même si elle me semble démesurée, je lui dirai tout simplement : t'en fais pas, on sait (pour peu qu'on connaît un peu l'hsitoire de la Seconde Guerre mondiale) qu'un gamin de 17 ans fin 1944, en Allemagne, pouvait échapper à l'incorporation dans les Waffen SS pour peu qu'il sache qu'il suffisait de "devancer l'appel" sous les drapeaux de quelques semaines et il se trouvait ainsi dans la Wehrmacht, les retardataires (si je peux m'exprimer ainsi) et les mal informés se trouvaient versés dans les Waffen SS. Le débat est ouvert.</p>
<p style="TEXT-ALIGN: right"> </p></div>
<div class="ligne" id="c2376">
<div>
<p>de Robert Grossmann le 17/08<br />(...) Quant à Rastignac il lance ici un sacré débat. Je pense que Gunther Grass, conscience morale de la gauche, aurait pu effectuer sa contrition bien avant 2006! Après tout il avait 60 ans pour le faire. 60 ans pendant lesquels il a abusé son monde, au regard de sa confession d'aujourd'hui. 60 ans de confort intellectuel et peut-être moral.<br />Il ouvre aujourd'hui, à contre temps, une bien vilaine boite de Pandore. <br />La suspicion risque de se répandre comme du poison, partout, et non seulement dans la génération de Gunther Grass. <br />Alors on peut toujours dire que le débat est salutaire. On peut aussi dire le contraire, quil est néfaste.<br />Il me semble que lessentiel doit consister à conjurer les démons daujourdhui.<br />Je songe à la société que nous allons léguer à nos enfants et petits enfants. Sacrée responsabilité ! Il faut en tout ce que lon fait aujourdhui, une conscience. Et, emporté par mon élan, je vais paraphraser Rabelais « Politique sans conscience nest que ruine de lâme »</p></div>
<p style="TEXT-ALIGN: right"> </p></div>
<div class="ligne" id="c2377">
<p>De : aLSATOR<br />Le vendredi août 2006 à 00:32<br />J'ai ecris un texte qui ne plaira pas à tt le monde sur Gunther Grass et je pense notamment à Ersnt JUNGER, grand écrivain, porusuivi par les amis de Grass, alors consciences du politiquement correct. <br /><br />Mais sur cette époque, que dire, qu'aurions nous fait ? Un résistant alsacien me racontait souvent sa classe de Terminale divisée en deux camps égaux ....<br /><br />Quid aussi de la reconstruction nationale qui fit que De Gaulle oublia les passés de certains jusqu'à en faire des Ministres ou des prefets. Le passé doit passer, sans oubli, mais passer ...</p></div>http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2006/08/17/153-dans-mon-billet-sur-l-appel-a-la-perennite-de-la-paix-rastignac-ouvre-le-debat-sur-gunther-grass#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/124Une semaine après le départ Jean-Marie Leblanc et Christian Prudhomme nous écriventurn:md5:896b20020401253e8a7a1cc0f62e0d1d2006-07-11T19:14:54+00:00Robert Grossmannl'actualitéça fait chaud au coeur.
Tous les Strasbourgeois et en premier lieu les agents de la Ville et de la CUS ont su donner de Strasbourg et l'Alsace une belle image <img alt="" src="http://www.robert-grossmann.com/blognotes/img/lettre-tdf.jpg" /><br />http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2006/07/11/126-lettre-de-jean-marie-leblanc-et-christian-prudhomme#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/100Hans Arp, une curieuse « mis à labri »urn:md5:9dd522fdb04f1423474a4fe65e0e4f462006-06-06T07:05:56+00:00Robert Grossmannl'actualitéVoici, publié ce jour dans les DNA, le texte intégral de ma réponse à Monsieur le conseiller général PS, H.Dreyfus, qui me mettait en cause dans l'édition de dimanche au sujet de la plainte de la ville pour la disparition de la sculpture de Hans Arp. <font size="4">
<p>Monsieur Dreyfus sinvente des étudiants imaginaires, donne des leçons et professe. Est-il à la hauteur ? </p>
<p>Il traite Hans Arp dartiste local, cela qualifie ses compétences dans le domaine dans lequel il vient interférer. Hans Arp est un artiste majeur du XXième siècle, un acteur essentiel de lhistoire de lart. Sa notoriété et sa côte ne cessent de grimper. </p>
<p>En 2004, nos musées ont réussi à acheter une de ses uvre, miraculeusement disponible sur le marché. Son prix a atteint 1,3 millions deuros et lEtat y a investi 1 millions deuros.</p>
<p>La ville restaure les salons de lAubette du même Hans Arp et les experts du monde entier saccordent pour estimer que cette restauration livrera au public un chef duvre de lart moderne des années 1928.</p>
<p>Pendant cette période, fertile pour la notoriété de Hans Arp, un agent de la ville constate, vers le 10 mai, la disparition dune de ses uvres importantes installée à lEsplanade en 1965. Le service municipal chargé de la culture porte plainte le 11 mai. Il a fait son devoir, il a bien fait. Je ne suis moi même averti de la disparition de luvre que le 19 mai. Après réflexion je décide, le 22 mai, de rendre publique cette disparition. </p>
<p>Il aura fallu attendre la publication par les DNA de la disparition de luvre pour que M.Blech sorte du bois, téléphone à la mairie de quartier et signale quelle est chez lui. Il tient à son interlocuteur étonné des propos inquiétants ( il veut garder cette uvre, il doit augmenter la couverture de son assurance, il veut la vendre, elle lui appartient ) Il qualifiera plus tard ces propos « de plaisanteries »</p>
<p>La police et le procureur qui étaient saisis ont fait leur devoir. Ce qui est qualifié de garde à vue est la suite logique et judiciaire du déroulement des événements.</p><ins>
<p>Questions à monsieur Dreyfus</ins> : </p>
<ul>
<li>Selon vous, si un président dassociation constate la dégradation dune uvre de grande valeur située sur lespace public, tombée au bas de son socle, peut-il lemporter, la mettre « à labri » chez lui sans en avertir quiconque jusquau moment où laffaire est révélée au grand jour ? </li>
<li>Quelles étaient les raisons de cette « mise à labri » privée et discrète ? Lauteur de ces faits connaissait-il limportance du Torse des Pyrénées, lui qui se vantait de lavoir nettoyée au kaercher ? (Un bronze doit vieillir avec la patine naturelle du temps !)</li></ul>
<ul>
<li>Quelles étaient les intentions de ce président qui ne signale à personne la détérioration de luvre mais qui la détient chez lui ?</li></ul>
<p>Jaffirme quant à moi que le seul comportement que doit avoir un citoyen responsable dans une telle situation cest davertir les services compétents de la ville et de déposer plainte pour atteinte à luvre. </p>
<p>M. Dreyfus, vous cherchez des conventions et des documents écrits, vous évoquez de manière curieuse une éventuelle prescription. Où voulez vous en venir ?</p>
<p>La ville a acheté cette uvre par lintermédiaire de la SERS. Elle en est propriétaire. Suggérez vous que lon pourrait la soustraire à la collectivité publique pour la privatiser ? Pour la négocier peut-être ? Encourageriez vous un dessaisissement de la collectivité ?</p>
<p>Cette uvre appartient aux strasbourgeois et je ne comprends pas les intentions de ceux qui argumentent contre une telle évidence.</p>
<p>Monsieur Dreyfus, on ne joue pas de manière politicienne avec le bien public. On respecte les uvres dart tout comme on respecte le mobilier urbain dans son ensemble. </p>
<p>Les étranges questions de votre tribune dans les DNA de dimanche pourraient ouvrir la voie à nimporte quel acte délictuel. Pourquoi, selon vous, ne pas « mettre à labri» chez soi des bancs publics égratignés, des bacs à fleurs abîmés, des arbres dans leur présentoirs, des lampadaires rayés ou, pour la caricature, la statue place Saint Etienne du Meiselocker taguée ?</p>
<p>Par votre questionnement mettant en cause la ville qui a défendu lintérêt général, vous semblez excuser des actes à tout le moins anormaux, ouvrant ainsi la boite de pandore de tous les délits. </p>
<p>Oui, vous embrassez une bien mauvaise cause, il fallait que vos étudiants de première année de droit le sachent. Sils existaient ils seraient, avec vous, en de bien mauvaises mains !</p>
<p> </p>
<p> </p>
<p> </p>
<p> </p>
<p> </p>
<p> </p>
<p> </p></font>http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2006/06/06/99-hans-arp-une-curieuse-mis-a-labri#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/79La sculpture de Hans Arp retrouvéeurn:md5:db2dbe96d6bda3a3443e86af4440910d2006-05-24T21:40:59+00:00Robert Grossmannl'actualitéDès la parution dans les DNA de l'information sur la disparition de l'oeuvre, un appel téléphonique est arrivé au bureau de l'adjoint au maire chargé du quartier esplanade. <p>La personne qui la "détenait" s'est signalée. La ville de Strasbourg qui avait légitimement porté plainte, dès le 12 mai, a donc averti la police qui a fait son travail et a permis la restitution de la sculpture. Celle ci se trouve désormais en lieu sûr dans les musées de Strasbourg. </p>
<p>C'est donc à la police et à la justice de communiquer et nous en saurons plus sur les circonstances de cette étonnante affaire dans les prochains jours.</p>http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2006/05/24/93-la-sculpture-de-hans-arp-retrouvee#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/73Une sculpture de Hans Arp disparue à Strasbourg!urn:md5:297bd773ccef3a46f23b36e934d557c42006-05-23T16:05:48+00:00Robert Grossmannl'actualité"Le Torse des Pyrénées", bronze de Hans Arp, créé en 1959 et fondu à Susse en 1962, a été installée avenue du général De Gaulle en 1965. Cette oeuvre a disparu, méticuleusement enlevé de son socle. La disparition a été constatée par les services de la ville de Strasbourg. <p><img alt="" src="http://www.robert-grossmann.com/blognotes/img/Arp06.jpg" /></p>
<p>La police est informée et cette disparition et le Torse des Pyrénées a été inscrit au fichier des oeuvres volées, tenu par l'Office central de lutte contre le trafic de biens culturels. </p>
<p>Naturellement si des témoignages pouvaient être produits, des indices révélés, il conviendrait d'en informer la police nationale ou les services de la ville de Strasbourg.</p>
<p>Je forme le voeu que cette superbe oeuvre de Arp soit restituée à la collectivité.</p>
<p> </p>
<p><strong><em><ins>En faisant circuler cette photo peut-être pouvez vous contribuer à la recherche</ins></em></strong></p>
<p><img alt="" src="http://www.robert-grossmann.com/blognotes/img/Arp07.jpg" /><br /><img alt="" src="http://www.robert-grossmann.com/blognotes/img/Arp05.jpg" /></p>http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2006/05/23/91-un-superbe-hans-arp-vole-a-strasbourg#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/71Kandinsky, la ville et le bon papier des DNAurn:md5:f2e7e105c4074b4442f74a4e6b4b75b62006-04-29T14:59:36+00:00Robert Grossmannl'actualité<img src="http://www.robert-grossmann.com/blognotes/img/Kandinsky_1b-web.jpg" alt="" /><br />
<br />Lisez aujourdhui le bel article dans les DNA sur Kandinski.
Tout ce qui est si joliment écrit a été suggéré, indiqué, proposé lors d'une présentation à la presse que le maire et moi, avec deux de nos adjoints, des membres de la direction générale et du cabinet, avons tenu à organiser hier, vendredi 28 avril. <p>Nous y avons présenté toutes les références pour accompagner la
compréhension de luvre, nous avons évoqué les écrits de Kandinski,
des extraits de son ouvrage <em>« De la spiritualité dans lart »,</em>
nous avons parlé de la musicalité de luvre, nous avons détaillé les
conditions du don fait à la ville de Strasbourg. Nous avons indiqué où
elle se trouvait en ce moment ce qui a permis au photographe des DNA
daller y faire une photo, in situ. De lavis des participants à
cette rencontre avec les journalistes, la présentation que nous
avons effectuée du Salon de Musique a été bien accueillie. </p>
<p><img src="http://www.robert-grossmann.com/blognotes/img/Kandinsky_1a-web.jpg" alt="" /><br />
Tout, en effet, est dans larticle Tout, sauf, bien entendu une quelconque mention de la ville! </p>
<p>Peut-être est-il permis de préciser, en lisière de ce bon article de
nos DNA, que cest bien la politique culturelle de la ville qui
favorise le rayonnement de nos musées, classés parmi les tout premiers
de France. Mais, l'indiquer risque peut-être de polluer la pureté
de lécriture journalistique. Ou peut-être est-il politiquement
incorrect dévoquer laction des élus, à moins quil n y ait
dautres obscures raisons pour les passer sous silence. </p>
<p>Souvent il arrive que des visiteurs ou des passionnés des musées me posent la question : </p>
<p>"Mais à qui donc sont ces musées, et qui en assure la gestion?" </p>
<p>"C'est bien l'état n'est-ce pas?" me dit-on fréquemment. A croire que peu de gens s'aperçoivent qu'il s'agit bien des musées <strong>de la ville de Strasbourg.</strong> </p>
<p>Cest la ville qui finance à quatre vingt dix pour cent leur
fonctionnement et qui en définit la politique, proposée et mise en
oeuvre par des conservateurs dont c'est le métier. Pour s'en persuader
prière de voir ce qui se passe à Nantes ou à Bordeaux où les
conservateurs sont partis, pour désaccord avec leurs élus. L'un de
gauche, l'autre de droite. Sait-on aussi que Ségolène Royal prenant ses
fonctions à la région Poitou Charente a évoqué l'idée de supprimer le
Fonds Régional d'Art Contemporain (FRAC)? </p>
<p>En tout état de cause il semble utile, ne serait-ce que pour le
contribuable strasbourgeois, de rappeler que c'est la ville qui est
propriétaire de ses musées et que c'est le maire qui les gère, avec des
conservateurs professionnels qui ne peuvent bien faire leur travail que
dans des relations de parfaite confiance avec leurs élus.</p>
<p>Je précise tout cela ici car on ne l'entend pas souvent et, à titre
d'exemple, on ne le lit pas du tout dans le bon papier de ce
matin, 29 avril 2006.</p>
<p>Et puis pourquoi ne pas dire aussi que luvre de Kandinski nest pas descendue du ciel par une opération du saint esprit.</p>
<p>Rendons hommage au conservateur en chef de nos musées municipaux,
Fabrice Hergott et à sa compétence, ainsi quà toute son équipe. Il est
à lorigine du succés de nos musées et c'est lui noue les contacts qui
permettent des dons importants comme ce salon de Kandinsky. Sa valeur
est estimée à trois millions quatre cent mille euros. Ce n'est pas rien.</p>
<p>Mais cest aussi le volontarisme des élus de la ville qui se trouve
salué par ce don de la société lOréal. Interrogez les conservateurs en
partance, de Nantes et de Bordeaux, sur les politiques muséales de ces
maires.</p>
<p>Il y a trois ans en avril 2002, notre municipalité à pris la
décision dacquérir une superbe uvre de Kandinski, « Drei
Elemente ». </p>
<p>Cest sans nul doute cette uvre qui a ainsi appelé le salon de musique à la rejoindre .</p>
<p>Nos musées se portent bien, merci de mavoir permis de le souligner ici.</p>
<p><em>Vassily Kandinsky, Le Salon de Musique, 1931 (reconstitué en 1975). Céramique, structure bois</em><br style="font-style: italic;">
<em>Don de la société LORÉAL</em><br style="font-style: italic;">
<em>Photo : D.R.</em></p>http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2006/04/29/73-kandinsky-la-ville-et-le-bon-papier-des-dna#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/56les tops et les flops sur le blogurn:md5:aee1485ed7168e2ba26f1e088c4c63de2006-04-17T14:44:33+00:00Robert Grossmannl'actualitéL'hebdo Le Point vient de consacrer un numéro à Strasbourg, il se fait maître censeur et distribue les bons et les mauvais "Points".
On en parle? <p> </p>
<p align="justify">Cest devenu une habitude : à chaque nouvelle lune, un hebdomadaire parisien descend dans une ville de province pour y distribuer bons et mauvais points. A Strasbourg, nous ny échappons pas : <em>Le Point</em> nous gratifie, cette semaine, de « tops et de flops ».</p>
<p align="justify">En entrant dans la vie publique, je ne me serais jamais douté que laction quon y conduit peut y être résumée en « tops » et en « flops », ni que le rôle de la presse pouvait parfois se limiter à distribuer des bons et des mauvais points. Pour moi, ce qui compte en démocratie, cest le « stop ou encore » quaccordent les citoyens à date régulière. Mais les « tops et les flops » du <em>Point</em> ne mont pas fait flipper. </p>
<p align="justify">Avec Fabienne Keller et notre équipe, nous récoltons un nombre considérable de tops : environnement, culture, troisième âge, sécurité, réhabilitation des quartiers, tramway, Tgv. Dis, M. Le Point, combien faut-il de tops pour recevoir une image ? Quant aux « flops », le maître censeur nous en accorde pour les finances, le Parlement européen, le sport, lEurodistrict, la polémique autour de la gare et le Jardin des Deux-Rives. Tout cela mérite bien une petite analyse. </p><strong>
<p align="justify">Le point sur les tops</p></strong>
<p align="justify">A commencer par les « tops » : pour lenvironnement, il ny a rien à redire. Laction menée dans ce domaine est réellement exemplaire et nous sommes en passe de relever notre défi : faire de Strasbourg la ville la plus écologique de France. </p>
<p align="justify"><strong>Pour la culture</strong>, où nous recevons un « top » et où notre politique en faveur de la lecture publique est saluée, je regrette que le journaliste ne parle pas des Taps, ni de la Boutique Culture (deux structures inédites en France), ni même du recrutement de Marc Albrecht à la tête du Philharmonique, ni la naissance dévénements comme le festival « Première » au Maillon. Je regrette également quil maccuse dêtre un « grand avocat des arts plastiques » (merci quand même) et, du coup, de délaisser les « musiques actuelles » : que fait-il du festival Ososphère et de la scène de la Laiterie, que la Ville soutient pleinement ? Je reste ouvert au débat sur la question : nous avons énoncé des priorités en matière de politique culturelle (accès à la lecture publique, politique culturelle dans les quartiers, Taps, Zénith, Conservatoire, etc.), peut-être nous faudra-t-il dans les années qui viennent poser la question des musiques actuelles à Strasbourg. Cest une grande discussion quil faut ouvrir dans ce domaine. </p>
<p align="justify"><strong>Pour la sécurité,</strong> le journaliste nous concède un autre « top », après avoir fait baisser la délinquance de 30 % à 50 % selon les quartiers. Le « top » qui me satisfait le plus concerne la « réhabilitation des quartiers » : on reconnaît enfin que nous nous sommes battus pour obtenir plus de 550 millions deuros auprès de lAnru et pour changer la vie au Neuhof, à Hautepierre ou encore à la Meinau. C'est bien la tenacité de notre maire qui se voit ainsi récompensée.</p>
<p align="justify">Nous recevons aussi un « top » <strong>pour le tramway</strong>. Heureusement que le journaliste nest pas venu il y a quelques mois, alors que les chantiers étaient stoppés : il est fort à parier quil nous aurait asséner un gigantesque « flop ». Preuve sil en était que la politique et laction publique ont besoin de temps, que tout se fait dans la durée, quun projet peut être soumis à daléatoires circonstances. Lessentiel est de ne pas avoir le nez plongé dans le guidon et de regarder loin.</p>
<p align="justify">Enfin, <strong>larrivée du TGV</strong> nous vaut un « top » : cest un vrai facteur de développement pour lensemble de notre agglomération. Nous nous sommes battus pour lavoir. </p><strong>
<p align="justify">Le point sur les flops</p></strong>
<p align="justify">Le Point nous gratifie également de « flops ». Le premier concerne<strong> les finances</strong> et le journaliste reconnaît quil ny a là vraiment « rien de dramatique ». Il est vrai que ce qui nous est reproché cest davoir fait passé lendettement par habitant à 603 euros, cest-à-dire lune des moyennes les plus basses en France (tout en conservant une marge appréciable dauto-financement à notre collectivité). Mais nous navons pas emprunté pour dilapider largent public en dépenses de fonctionnement : <ins>nous lavons fait pour investir, pour rénover les écoles et les équipements sportifs, pour développer la ville, construire de nouvelles infrastructures, accueillir le TGV, etc. </ins></p>
<p align="justify">Le deuxième « flop » concerne <strong>le Parlement européen</strong> Il est fait état des négociations sur lachat par le Parlement de bureaux dont il est aujourdhui locataire : cest une péripétie. Le journaliste ne dit pas un mot sur lachat par le Parlement de lIPE IV : ce qui représentait un acte fort. De même, je regrette que certains de nos opposants, qui prétendent à la nécessité de lunion sacrée sur les affaires européennes, se ruent sur les micros sitôt quils en voient un passer à leur portée pour nous critiquer et, au final, dégommer Strasbourg </p>
<p align="justify">Le troisième « flop » ma fait un peu rire. Jaune, cela va de soi, puisquon nous reproche lirrésistible <strong>descente du Racing </strong> Si nous étions un 1<sup>er</sup> avril, jaurais bien annoncé mon intention de reprendre lentraînement avec notre ami Albert Gemmrich et de sauver le Racing des défaites quil encaisse les unes après les autres. Mais peut-on donner un flop au sport à Strasbourg, à cause du football ? Cela veut dire que lon oublie <ins>les succès de la Sig</ins> et des autres clubs sportifs strasbourgeois. Cela veut dire que lon passe sous silence<ins> la rénovation des équipements sportifs de lagglomération, la réalisation de la grande patinoire et du Rhénus Sport</ins>. Le Point affiche dailleurs ses contradictions : quelques pages plus loin, il nous félicite pour avoir convaincu les organisateurs du <ins>Tour de France de faire de Strasbourg la ville du Grand Départ</ins> de la grande boucle en 2006. Donc, je rectifie par moi-même et je comprends que <ins><em>Le Point</em> a voulu donner en réalité un « top » au sport à Strasbourg !</ins></p>
<p align="justify">Autre sujet à « flop », <strong>cest lEurodistrict</strong>. Avec nos amis allemands Klaus Brodbeck, Gunther Petry et les maires de lOrtenau, nous avons le sentiment de ne pas avoir été entendus par Paris et par Berlin. Chirac et Schroeder ont fait des promesses. Ils ne les ont pas tenues. Alors nous essayons de construire un Eurodistrict concret, à notre échelle et à notre mesure, avec les moyens dont nous disposons. Les moyens binationaux qui auraient pu booster lEurodistrict nétant pas là, nous recevons un « flop ». Je formule mon espoir : avec le temps, avec la ténacité et le travail commun, nous parviendrons à avoir un jour un « top ».</p>
<p align="justify">Nous recevons enfin les deux derniers « flops » pour <strong>la gare et le Jardin des Deux Rives</strong>. Pour la gare, évidemment la meilleure solution était daménager larrière gare. Cest une solution sur laquelle nos prédécesseurs (ceux qui précisément nous donnent aujourdhui des leçons) navaient fait aucune étude sérieuse et qui se chiffre en milliards deuros : impossible à réaliser avant 15 ou 20 ans ! Il fallait donc agir pour préparer larrivée du TGV. Je pense que nous avons fait le bon choix, celui du pragmatisme. Quant au Jardin des Deux Rives, il faut là encore « donner du temps au temps ». Le parc, côté allemand, est situé dans un quartier urbanisé. Côté français, il est situé dans un quartier en cours durbanisation. Nous n'avons pas encore trouvé la recette pour faire pousser des arbres centenaires en deux jours ni pour réaliser un nouveau quartier en quelques heures. Que le journaliste me le pardonne : il pourra repasser dans quelques années pour octroyer un « top » au Jardin des Deux Rives.</p>
<p align="justify">Ce qui ressort de ces « tops » et de ces « flops » attribués par Le Point, cest linstantané photographique quil permet de réaliser sur Strasbourg et lagglomération. Mais on ne peut pas limiter la politique à une pratique instantanée. Pour être juste et efficace, laction publique réclame du temps. Un jour, il faudrait bien que le monde médiatique délaisse un peu ses polaroïds, pour se convertir lui aussi au « développement durable » </p>http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2006/04/17/68-les-tops-et-les-flops-sur-le-blog#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/51Sortir de cette crise, vite!urn:md5:fe17c24d224e91b49bf57c7f3ea84bce2006-03-16T22:18:01+00:00Robert Grossmannl'actualitéApparemment une partie importante de jeunes na pas compris les intentions du premier ministre.
Je veux croire quils sont de bonne foi dans leur révolte (...)
Dire à la jeunesse que ce contrat « précarise » leur situation de jeunes est totalement démagogique mais semble pourtant bien reçu par eux. Cela correspond à leurs angoisses aux porte dune société qui connaît des difficultés.
Mais, mettre dans la tête des jeunes que leur objectif peut et doit être linamovibilité de leurs situations est un mensonge, une duperie, une supercherie sans nom. <strong>
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<p>Quelques réflexions dans le désordre ! </p>
<p>De Villepin est pressé. Il veut gagner la bataille de lemploi et ny a pas trop mal réussi jusquà présent, sans pourtant atteindre des résultats spectaculaires. Il veut transformer son timide essai en donnant un vif coup daccélérateur et en démontrant quil est un homme politique courageux, qui na peur ni des tabous ni des vaches sacrées. Il tient un sujet, le CPE, qui devrait créer dassez nombreux emplois en faveur des jeunes. Dès lors confiant en son étoile, il fonce. Il a aussi des objectifs personnels, il les lie à son éventuelle future réussite dans la bataille de lemploi.</p>
<p>Les débats au parlement ont lieu mais la gauche, soucieuse de bloquer, développe des centaines damendements dont la vertu principale consiste à retarder pendant assez longtemps le vote. Villepin utilise le fameux 49/3 qui permet déviter les débats interminables. La loi sur les CEP est ainsi votée.</p>
<p>Voilà, sommairement résumé, le déroulé des opérations.</p>
<p>Mais ce qui nétait pas prévu dans le déroulé mis en place par de Villepin cétait la manière dont son message, sa méthode et donc son action serait perçue et reçue par les principaux intéressés.</p>
<p>Apparemment une partie importante de jeunes na pas compris les intentions du premier ministre. </p>
<p>Je veux croire quils sont de bonne foi dans leur révolte. Je note toutefois que les meneurs comme le président de lUNEF sont clairement à gauche et jouent un peu les bras armés du PS et des gauches en milieu universitaire.</p>
<p>Pourquoi la révolte prend-elle une certaine ampleur ? </p>
<p>Parce que le thème et la méthode de communication des opposants semblent plus audibles, plus crédibles, que ceux de de Villepin. Dire à la jeunesse que ce contrat « précarise » leur situation de jeunes est totalement démagogique mais semble bien reçu par eux. Cela correspond à leurs angoisses aux porte dune société qui connaît des difficultés. </p>
<p>Mais, quelle duperie, quel abus à légard des jeunes ! </p>
<p>Quest ce qui nest pas précaire dans la vie tout court ? </p>
<p>Les amitiés, les amours les enfants qui grandissent, les domiciles, les loisirs, les vacances, la vie elle même - (lisons lEcclésiaste dans la bible) tout est précaire !</p><ins>
<p>Mettre dans la tête des jeunes que leur objectif peut et doit être linamovibilité de leurs situations est un mensonge, une duperie, une supercherie sans nom. </p></ins>
<p>Dailleurs en veulent-ils de linamovibilité ? Est-ce les comprendre et leur rendre service que de la mettre dans la tête le schéma de limmobilité définitive de leur future vie professionnelle ?</p>
<p>Dautre part un patron qui embauche un jeune avec possibilité de sen séparer selon les règles du CPE aura-t-il réellement envie demployer un jeune, de le former, de le garder deux ans pour le mettre automatiquement à la porte ? Je suis au contraire persuadé quun chef dentreprise nest pas un adepte de linstabilité. Cest lintérêt de lentreprise de stabiliser son personnel et daller de lavant.</p>
<p>Bien sûr il existe des patrons cyniques. Mais, CPE ou pas, ceux là le sont et le resteront. Ils faut les démasquer et les sanctionner pour leurs méfaits sociaux, sil en commettent.</p>
<p>Le CPE est néanmoins une tentative de faire mieux et je suis certain que le premier ministre, en le créant, nétait pas inspiré par la volonté de nuire aux jeunes et de les « précariser ». Tout au contraire.</p>
<p>Il reste quaujourdhui avec un délicieux parfum de mai 68 certains jeunes jouent aux héros révolutionnaires et se font du bien en se créant une stature de « Saint Just-sur-barricade » !</p>
<p>Une partie très nombreuse veulent pourtant que les facultés ouvrent afin quils puissent travailler travailler pour réussir leurs examens dans le but de sassurer la meilleure insertion professionnelle possible. </p>Les empêcher de travailler est inadmissible et scandaleux !<br /><br /><em>20 heures 40 ! Je viens de voir au journal télévisé des images de casseurs dont on dit dailleurs quils ne sont pas étudiants mais quils sont venus pour casser, après les défilés. Cafés, vitrines de magasins sont saccagé près de la Sorbonne </em><br style="FONT-STYLE: italic"><br style="FONT-STYLE: italic"><em>Il faut durgence cesser les affrontements et il appartient au premier minsitre de prendre des mesures en ce sens !</em><br style="FONT-STYLE: italic"><br style="FONT-STYLE: italic"><em>Jobserverai la suite avec une relative inquiétude.</em><br style="FONT-STYLE: italic"><br /><font size="4">
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<p> </p>http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2006/03/16/44-puis-je-me-taire-face-a-la-crise-qui-vient-de-surgir-en-france-au-pretexte-du-cpe#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/35France-Allemagne : un universitaire strasbourgeois distingué !urn:md5:619f4371466940ed114241a7dc150ce92006-03-16T16:19:56+00:00Robert Grossmannl'actualité <strong><font size="2">
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<p>Le Bundestag et le Sénat viennent dattribuer aujourdhui à Denis Goeldel, professeur émérite à luniversité Marc-Bloch, le prix parlementaire franco-allemand 2006. A lheure où nous construisons lEurodistrict et nous travaillons à des projets communs de part et dautre du Rhin, cette heureuse nouvelle nous réjouit ! Je viens dadresser toutes mes félicitations au professeur Goeldel</p></font>http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2006/03/16/43-france-allemagne-un-universitaire-strasbourgeois-distingue#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/34La licence globale : vers lexception (anti-)culturelle française.urn:md5:c78554a751e1461aef9d6131073aabe82006-03-09T16:32:04+00:00Robert Grossmannl'actualité(...) On ne peut pas assurer ni développer la vitalité culturelle de notre pays, sans dune part assurer aux créateurs des revenus (cest la logique fondamentale du régime des « droits dauteur ») et sans dautre part leur assurer un statut social décent (cest la question de lintermittence, sur laquelle je me suis engagé fortement, saisissant même sur le sujet le Premier ministre de lépoque en visite à Strasbourg). <p> </p><strong>
<p align="justify">Le pays qui a inventé le droit dauteur va-t-il inventer le droit du pirate ? On peut se le demander, au vu des actuels débats parlementaires sur le téléchargement. </p></strong>
<p align="justify">Aujourdhui, lindustrie du disque traverse une grave crise : les ventes de Cd et de Dvd ne cessent de diminuer alors que le téléchargement de titres augmente grâce au <em>peer to peer.</em> Lindustrie du disque, ce nest pas simplement quelques « majors » ni quelques grandes groupes multinationaux, supposés être peuplés de financiers et de requins aux dents longues. Cest une filière entière de la vie économique du pays qui est concernée : auteurs, compositeurs, réalisateurs, interprètes, producteurs, presseurs, diffuseurs, disquaires, etc. </p><strong>
<p align="justify">Un artiste a-t-il le droit de vivre de son art ?</p></strong>
<p align="justify">Télécharger gratuitement de la musique ou des films nest pas un acte anodin. Cela revient à ne pas consentir quun artiste a le droit de vivre de son art. Cest considérer que ceux qui travaillent dans les métiers de la culture peuvent vivre damour et deau fraîche. Cest là une idéologie assez délétère. En France, tous les arguments sont bons pour justifier la gratuité et il est quasiment anti-politiquement-correct de dire que la culture et lart ont des coûts. </p>
<p align="justify">Quand un spectateur visite un Musée, il paie son billet dentrée et la collectivité, quant à elle, engage des dépenses dinvestissement et de fonctionnement, qui sont partagées par lensemble des contribuables. De même pour le théâtre, la musique, etc. </p>
<p align="justify">Or, aujourdhui, certains semblent vivre dans un monde à part, dans leur « bulle » à eux, sans se soucier dautre chose que de leur propre confort. Parfois, pour se donner bonne conscience, ils sapitoient cinq minutes sur un sujet tel que le sort des intermittents du spectacle. </p>
<p align="justify">Il faut parfois avoir de la suite dans les idées ! Surtout en politique. Or, quand je vois, sur les bancs de lAssemblée nationale certains députés plaider aujourdhui pour la « licence globale » (cest-à-dire en fin de compte pour la quasi-gratuité du téléchargement) alors quhier encore ils faisaient semblant de soupirer sur le sort de lintermittence, je me dis quil y a quelque chose de démagogique, bref quelque chose de pourri, et pas seulement dans le royaume du Danemark. </p><strong>
<p align="justify">Droits dauteur, intermittence : même combat !</p></strong>
<p align="justify">Car de quoi parlons-nous ici ? Nous parlons non seulement de lavenir de lindustrie culturelle en France, mais aussi des moyens de subsistance dartistes et de professionnels de la culture. On ne peut pas assurer ni développer la vitalité culturelle de notre pays, sans dune part assurer aux créateurs des revenus (cest la logique fondamentale du régime des « droits dauteur ») et sans dautre part leur assurer un statut social décent (cest la question de lintermittence, sur laquelle je me suis engagé fortement, saisissant même sur le sujet le Premier ministre de lépoque en visite à Strasbourg). Intermittence et droit dauteur, cest une seule et même question : celle dadmettre si oui ou non ceux qui travaillent dans le domaine culturel ont le droit dêtre rémunérés, bref de savoir si oui ou non la culture a un coût </p><strong>
<p align="justify">Oui ! laccès à la culture a un prix !</p></strong>
<p align="justify">Elle en a un, assurément. En France, on est un peu trop versé dans lidéologie de « lart pour lart ». On vit dans la mythologie de lartiste maudit (« Regardez Van Gogh, il a créé des chefs duvre sans avoir le sou »). Rares sont ceux qui admettent avec le dramaturge René Ehni une bouleversante réalité : « Le nerf du spectacle cest largent. » Prétendre le contraire, ce serait faire preuve de démagogie. Et, en la matière, je connais certains députés qui nont pas été en reste ces derniers temps. En effet, en décembre dernier, les députés, au PS et à lUMP, ont voté deux amendements légalisant le téléchargement pour usage privé moyennant une contribution forfaitaire : la voie ouverte à la « licence globale ». Lundi, le ministre de la Culture retirait larticle 1 du projet de Loi (sur lequel portait les deux amendements). Hier soir, pour ne pas courir le risque de linconstitutionnalité sur la procédure quil avait engagée, Renaud Donnadieu de Vabre a réintroduit larticle 1. </p><strong>
<p align="justify">Vers une exception (anti-)culturelle française ?</p></strong>
<p align="justify">Quelle sera lissue du vote des députés ? Est-ce quils sauront résister aux sirènes de la démagogie qui les appellent à contenter près de dix millions dinternautes tout en risquant de provoquer leffondrement de toute une filière de lindustrie culturelle du pays ? Jespère sincèrement que cet article 1, malencontreusement amendé, sera rejeté. Car non seulement il mettrait en péril le paysage culturel national, mais il placerait la France dans une situation assez paradoxale dans le monde : le pays qui saffichait jusqualors en pointe de lexception culturelle deviendrait une sorte de havre de paix pour tous les pirates du monde Je ne crois pas que mon pays puisse se résigner à avoir le destin dIles Caïman de la culture ! </p><strong>
<p align="justify">La licence globale est une mauvaise solution </p></strong>
<p align="justify">La solution de la « licence globale » me semble être une mauvaise solution : les recettes dégagées par sa perception (suivant des normes et des procédures que personne na dailleurs encore très clairement définies) néquivaudraient, dabord, certainement pas à celles dégagées par la vente de disques. Le régime dassurance sociale des professionnels du spectacle serait, lui aussi, acculé à un déficit plus grand quil ne lest aujourdhui (les droits dauteur étant assujettis à une taxation finançant ce système). Qui contrôlerait, dailleurs, la redistribution des droits dauteur ? En fonction de quoi ? Ensuite, dautres métiers seraient amenés à être considérablement fragilisés, à commencer par celui de disquaires.</p><strong>
<p align="justify">Le Cd-rom ne sest pas fait en un jour !</p></strong>
<p align="justify">La première solution viendra, je le crois, naturellement, si lon veut bien, pour une fois, ne pas tout réglementer ni déréglementer, mais bien se contenter de laisser les choses suivre leur cours : le Cd-rom ne sest pas fait un jour ! Si les internautes téléchargent autant de titres grâce au système gratuit du <em>peer to peer,</em> ce nest pas par goût du vol. Cest certainement que les sites payants nont, pour lheure, pas de catalogue suffisamment étoffé. Il est urgent que les sites payants de téléchargement de musique augmentent considérablement la numérisation des collections : le poète Baptiste Marrey, dont on se souvient quil a écrit un magnifique <em>Eloge de la Librairie avant quelle ne meure, </em>disait que le vrai libraire mettait à disposition du public un fond littéraire (sans se contenter uniquement de vendre facilement les nouveautés). Avec Internet, un nouveau media existe, mais les principes restent les mêmes : les fonds numérisés de disques et de Dvd proposés aux internautes doivent senrichir considérablement ! </p>
<p align="justify">Dautre part, lEtat doit jouer pleinement son rôle, en stimulant économiquement la filière du disque. Cela consiste, avant tout, à faire passer la TVA sur les disques de 19,6 à 5,5 %. Le gouvernement français doit faire peser tout son poids à Bruxelles, quitte à déplaire à Mme Merkel.</p>
<p align="justify">Une fois loffre légale développée, le prix des disques baissés grâce à la diminution de la TVA, alors il appartiendra au gouvernement de rejoindre les positions de la plupart des Etats européens, en informant les internautes sur les risques liés au téléchargement illégal et en poursuivant judiciairement les pirates professionnels. Nous aurons ainsi permis un accès à toutes les formes de productions musicales et cinématographiques, sans pour autant remettre une industrie qui, en France, doit être et rester une belle et grande exception !</p>
<p align="justify"> </p>
<p> </p>http://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?post/2006/03/09/35-la-licence-globale-vers-lexception-anti-culturelle-francaise#comment-formhttp://www.robert-grossmann.com/blognotes/index.php?feed/atom/comments/26